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Syrie, conflit pourri ! Appel à la paix !

Publié le par gibirando

Syrie, conflit pourri !

Syrie, conflit pourri ! Appel à la paix !

 

Il y a 2 jours, les Etats-Unis, la France et le Royaume-Uni ont frappé la Syrie en envoyant des avions pour bombarder des cibles qui seraient liées aux récentes attaques chimiques de Bachar Al-Assad contre son propre peuple dans la région de la Ghouta orientale. Voilà comment les médias occidentaux et notamment  français relatent le informations que nous recevons depuis.

 

Evidemment, ces informations sont amplement analysées et développées dans tous leurs aspects, avec le plus souvent l’œil bienveillant du journaliste occidental, à savoir que Bachar Al-Assad est un diable sanguinaire qu’il faut à terme éliminer, alors que nous sommes des anges rédempteurs et donc les garants d’un monde que nous souhaitons le plus paisible possible. Notons au passage que ce conflit a déjà fait des milliers de morts avec l’utilisation d’armes conventionnelles et que l’on a laissé faire sous prétexte que l’urgence était d’abord de se défaire de l’Etat islamique qui occupait certaines zones de ce pays. La France par exemple a continué de livrer des armes aux rebelles syriens et continuent d’en vendre à bon nombre d’intervenants au Proche et au Moyen-Orient.

 

Soyons objectifs  et gardons à l’esprit que la guerre en Syrie, qui a commencé en 2011 par des manifestions populaires pacifiques contre son propre régime, celui de Bachar Al-Assad, les fameux « printemps arabes », est un conflit plus que pourri. Allez sur le site Wikipédia et amusez-vous à regarder les belligérants en présence dans la « guerre civile syrienne » et vous verrez qu’il y en a des dizaines pour la plupart inconnus du grand public mais il y a aussi d’autres nations bien plus inquiétantes qui défendent coûte que coûte Bachar Al-Assad. De toute manière, elles ne sont pas des moindres des deux côtés. Ce conflit dure car il est sans solution « sereine » et « pérenne ». Le pays est un « magma » de populations tribales et ce n’est pas demain la veille que ça va changer. Constamment instable, cette soi-disant « République arabe syrienne » n’a jamais été une démocratie et vouloir en faire une comme nous l’entendons en Occident est amplement utopique. Quand à sa position géographique, elle n’est pas plus stratégique qu’une autre mais bien évidemment tous les pays frontaliers voire limitrophes vous diront le contraire. Les autres aussi d’ailleurs et le voisinage d’Israël complique tout.

 

Alors, soyons prudents et souvenons-nous aussi que les deux guerres dites « mondiales » ont commencé par des « événements » que l’on peut qualifier sinon de mineurs au moins de secondaires sur le plan « terrestre et global » ; en juin 1914 c’est l'assassinat  de l'archiduc François-Ferdinand, héritier du trône d’Autriche-Hongrie qui engendre la guerre, et en septembre 1939, c’est l’invasion de la Pologne par les Allemands qui en est le détonateur ;  mais qu’en réalité la vraie raison de ces conflits était la montée des impérialismes guidée par des raisons purement économiques et stratégiques. A ces éléments-là, ajoutons-y un ego démesuré des dirigeants, voire carrément de la folie pour certains et on comprend aisément pourquoi le désastre démarre au quart de tour. On connaît la suite.  Ici avec la Syrie, les ingrédients semblent les mêmes : des événements insolubles dans un pays engendrent d’autres incidents en cascade. D’une multitude d’incidents, on en vient a des actes de guérillas, puis à la guerre civile se transformant carrément en catastrophes avec des milliers de victimes civiles et des exilés en grand nombre. Les forces en présence gouvernées par des orgueilleux montrent leurs muscles, défient les adversaires. On passe des mots aux actes. L’engrenage se met en branle. On arme ses alliés, puis on les surarme.  On se traite d’agresseurs et de « barbares » des deux côtés. On se menace. Le risque d’une troisième guerre mondiale s’amplifie. Il ne reste plus qu'à allumer la poudre !

 

Alors que voulons-nous ? La même chose qu’en 14-18 ou qu’en 39-45 ?

 

La guerre de 14-18 a fait plus de 18 millions de morts et 21 millions de blessés et pour celle de 39-45 les historiens l'estiment à une fourchette de 50 à 85 millions de morts.

 

Alors c’est encore cela que nous voulons ? Ou pire encore car en regardant ces chiffres, on voit bien que plus les armes sont modernes et plus le nombre de morts s’accroît. Des morts civiles désormais car plus les armes sont nouvelles et plus elles sont puissantes, et bien évidemment les militaires se retranchent derrière elles au détriment des civils qui eux trinquent, alors qu’ils n’ont rien demandé.

 

Ici la Turquie joue un double jeu. Les Iraniens nous qualifient de criminels. Poutine promets le chaos si ça continue…. Il est donc temps d’arrêter les surenchères.

 

Ajoutons à tout cela des tensions un peu partout sur terre : Daesh, Ukraine, Corée du Nord, Yemen, Afrique, Amérique du sud……et la marmite bout comme jamais peut-être.

 

Alors arrêtons les frais en Syrie et engageons au plus vite des pourparlers et tentons de négocier une paix qui satisfasse le plus grand nombre…..si cela est encore possible ! Tous les peuples ne demandent que ça et se foutent de tout le reste….

 

 

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E comme E.N.A....émotion non autorisée....

Publié le par gibirando


Comme des millions de personnes, peut être même des milliards, j’ai été ému et même ébranlé par cette photo du petit Aylan Kurdi. Ce petit enfant inerte et la face enfouie dans le sable d’une plage m'a perturbé et me perturbe encore. C'était sans doute le but des médias mais pas du photographe lui-même. Moi, si cette photo m’a heurté et ému, c’est parce qu’elle me ramène à un tas de choses dont j’ai bien envie de parler depuis quelques temps déjà. Bien sûr, si l’image de cet enfant mort sur une plage est choquante c’est parce que ce petit gamin, on l’imaginerait plus facilement entrain de courir, de se baigner, de faire des pâtés et des châteaux de sable comme le font nos petits-enfants, comme l’ont fait nos propres enfants ou comme nous l’avons fait nous-mêmes étant enfants. La plage, nous occidentaux, nous avons pris l’habitude de penser que ce sont les vacances, le bonheur, la joie de vivre, d’être en famille...et jamais la misère, l’horreur, la peur et encore moins la mort d’un si petit innocent. Moi-même, qui ai vécu en direct la noyade de mon frère aîné, alors qu’il avait 11 ans et qui en avait réchappé in-extremis, sauvé par les marins-pompiers de Marseille, heureusement, je n’avais jamais gardé cette image négative d’une plage de sable fin. Ce petit Aylan, c'est notre enfant, notre fils ou notre petit-fils !

 

Cette photo c’est donc un grand « E » comme émotion, ébranlement, effroi mais aussi comme émigration et malheureusement comme « effronterie» également. Effronterie de nos hommes politiques bien sûr, qui tout à coup, à la vue de cette photo insoutenable, semblent prendre conscience que l’émigration serait un problème nouveau alors que quelques jours plutôt, 71 migrants dont des enfants ont été retrouvés en décomposition dans un camion sur le parking d’une autoroute autrichienne. L’horreur absolue mais dont nous avons eu la vision fugitive d’un camion vide seulement. Voilà toute la différence. L’information choque mais comme on ne voit rien, on passe et on pense à autre chose. Pourtant des milliers de migrants sont déjà morts en Méditerranée mais jusqu’à alors, les médias nous avaient épargné de photos trop révoltantes. Je ne dis pas que nos hommes politiques sont insensibles à cette photo du petit Aylan mais ils sont hypocrites et laissent pourrir les situations. Ils ne semblent jamais disposer à traiter les problèmes à leurs sources. D’ailleurs, il faut bien reconnaître que bons nombres de pays, en Europe ou dans le monde,  ne sont jamais d’accord sur les solutions à adopter et proposées par un tel ou un tel. Les problèmes et leurs éventuelles solutions, ils préfèrent les ignorer.  C’est beaucoup plus simple, ça ne coûte rien et ça ne fait pas de vagues. Exemple : Plutôt que de trouver une solution à la guerre en Syrie, les hommes politiques les plus précautionneux parlent de quotas d’immigration mais quand ces derniers auront été atteints voire dépassés où cherchera-t-on la solution suivante ?

 

Depuis combien de temps n’a-t-on plus entendu parler de la guerre en Syrie, pays du petit Aylan ? Et d’ailleurs sait-on vraiment qui est notre ennemi dans ce terrible conflit ? Bachar el Assad ? Daesh ? La Russie de Poutine ? Poutine lui-même ? Les chinois ? L’Arabie Saoudite ? Le Qatar ? Pourtant, on sait parfaitement qui financent Assad et Daesh et malgré ça, de nombreux pays, la France y compris,  font des ronds de jambe à ces pays-là. Pourtant tous les hommes politiques sont d’accord pour reconnaître que la véritable solution à ces problèmes migratoires ne viendra qu’après la résolution des conflits qui ne cessent de s’amplifier au Moyen-Orient et en Afrique. Que fait-on désormais en Irak et en Libye après les avoir soi-disant libérés d’un joug dictatorial ? On leur pompe leurs pétroles, leurs gaz et leurs minerais ? Et puis après ? On leur vend des Rafales, des porte-hélicoptères, des armes hyper puissantes qui, peut être, se retourneront un jour contre nous, au regard de l’instabilité totale qui règne dans ces régions-là ?

 

En réalité, tout est devenu « géoéconomique », « géopolitique » et « géostratégique » et les solutions ne sont pas pour demain. Y a-t-il d’ailleurs des solutions ?  L’Europe de la C.E.E n’a engendré qu’une seule bonne chose : la Paix et c’est bien là l’essentiel, en tous cas pour nous, européens occidentaux.  Alors, si une majorité de ces européens sont contre l’arrivée massive de migrants, c’est parce qu’ils voient dans ce phénomène, une cause réelle et sérieuse d’instabilité chronique. L’argent vient sans doute en deuxième position car la crise économique est passée par là et elle est loin d’être terminée pour le citoyen lambda. Mais pour le reste, les pays ne s’entendent pas et c’est du « chacun pour soi ». De nombreux pays n’ont été acceptés dans l’Union Européenne que pour la paix essentiellement.  Avoir la paix le plus longtemps possible avec eux, voilà le véritable intérêt, mais pour les autres sujets, nous sommes à des années-lumière de leurs idées rétrogrades et bien évidemment cela pose d’énormes problèmes d’entente. On laisse pourrir la situation ukrainienne car on a peur de la réaction de Poutine d’autant qu’Obama est un pacifiste « frileux ». On n’arrive pas à régler les problèmes de la Grèce que l’on a mis sous perfusion financière depuis le temps où elle était gouvernée par des dictateurs corrompus. Dans la C.E.E, on a accepté l’entrée de nombreux pays de l’Est essentiellement pour que la Russie n’est pas de suprématie sur eux, mais l’hégémonie, l’influence et les relations « bonnes » ou «  mauvaises » ont néanmoins perdurées. On conduit des politiques pour que le « système économique et financier » fonctionne au mieux. Pour plaire aux plus riches de la planète qui sont en réalité les seuls et vrais gouvernants. Mais pour eux, gouverner, c’est toujours faire plus de « fric ». Plus de « fric », c’est plus d’influence sur les élus de tous niveaux et de tous bords, c’est plus d’influence sur les lobbys et si des millions de pauvres migrants quittent leur pays, ce n’est pas vraiment leur problème. Non, ces gens-là préfèrent spéculer en bourse, investir dans le foot et plus globalement dans toutes ces activités lucratives où l’argent est le seul maître-mot. Moi, « Maître du Monde » disait l’un de ces milliardaires et on a à même tiré un film.

 

Aujourd’hui, tout va à vau-l’eau, les hommes politiques ont toujours besoin de plus en plus d’argent pour leurs campagnes électorales à répétition. Une élection se termine et ils pensent déjà à la suivante. Ils en sont le plus souvent à penser à leur propre avenir plutôt qu’à celui de leurs concitoyens. Ils savent qu’ils n’ont pas la clé des problèmes qui se posent et ne font que semblant de vouloir les résoudre. De ce fait, ils vivent le plus souvent endormis dans leurs dogmes et loin de la réalité des peuples qu’ils sont censés gouverner. Une problème surgit et il faut vite le résoudre avant qu’il n’enfle, s’amplifie et explose. Ils appréhendent par dessus tout l’explosion populaire et ne font que le juste nécessaire pour maintenir un semblant de paix sociale. Cela est vrai pour le chômage comme pour l’immigration et comme pour les difficultés que rencontrent les éleveurs par exemple. Ils demandent aux citoyens lambda de mettre la main au cœur ou à la poche car ils savent que c’est la seule issue « plausible » et en tous cas la moins contraignante. Pour eux, marcher jusqu’à la source des problèmes est un chemin bien trop long, bien trop ardu et solitaire et de ce fait, on préfère l’éviter et en prendre un plus court.

 

Pour être honnête, il n’y a pas de quoi être fier d’être un homme politique de nos jours. Resté au sommet d’un soi-disant pouvoir et dans les médias, voilà le leitmotiv de la plupart d’entre eux. Ce n’est plus un sacerdoce mais un plan de carrière.

 

 E….comme E.N.A…..émotion non autorisée…..Ouf, je suis content, je ne sors pas de l’E.N.A.

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Daesh lave plus noir.....hommage à ses victimes...

Publié le par gibirando


Daesh lave de plus en plus noir croit-on comprendre ! Depuis les horribles et lâches assassinats des otages Hervé Gourdel et Alan Henning, auxquels je veux rendre hommage au travers de cette chronique, on entend le nom de « Daesh » sur toutes les chaînes de télévision et les radios. J’ai voulu savoir qui se cachait derrière ce nom et j’ai appris qu’il s’agissait ni plus ni moins que de la même organisation que notre ministre Laurent Fabius se refuse de manière très dérisoire à appeler « état » islamique. Je suis donc allé voir sur l’Encyclopédie Wikipédia et en tapant « Daesh », le renvoi vers « Etat islamique (organisation) » a été immédiat. J’ai potassé cet article très consciencieusement, liens inclus et pour être honnête, je me suis finalement beaucoup perdu dans un véritable labyrinthe où j’ai néanmoins compris que Daesh était plus ou moins une émanation d’Al Qaïda liés à de nombreuses autres mouvances mais surtout avec une ampleur en hommes (+ de 70.000) et en moyens sans aucune commune mesure avec cette ancienne organisation terroriste. Les combattants et membres de Daesh seraient passés en une année, entre 2013 et 2014, de 7.000 à 75.000. J’ai également compris que la finalité de Daesh n’était que belliqueuse et guerrière. Guerre contre les Etats-Unis, Israël et l’occident en général mais aussi et surtout guerres, tueries et massacres contre d’autres musulmans en désaccord avec leurs objectifs. Quels objectifs ? S’ils n’avaient pas été clairement écrits en marge de l’article, j’aurais éprouvé beaucoup de mal à les identifier lors de ma lecture : « établissement d’un califat en Irak et en Syrie et instauration de la charia ». Quand j’ai voulu suivre le lien « califat », j’ai été renvoyé vers un autre article intitulé « état islamique (état) » avec l’explication suivante : « L’Etat islamique est un état musulman non reconnu internationalement, dirigé par un calife et son organisation portant le même nom. Depuis 2006, il est en guerre en Irak et depuis 2013 en Syrie. Il y contrôle à ce jour une large partie du territoire de chaque côté de leur frontière commune ». Quand au mot « charia », c’est la loi islamique que cette organisation ou état prône d’appliquer de la manière le plus rigoureuse qui soit. Là, je l’avoue, j’ai commencé franchement à ne plus rien y comprendre car dans le renvoi vers le mot « charia », je pouvais lire « la charia codifie à la fois les aspects publics et privés de la vie d’un musulman ». Alors pourquoi les musulmans de Daesh tuent-ils d’autres musulmans ? Ensuite, ça se complique encore car le mot « calife », lui, est  clairement mentionné comme étant le successeur du prophète Mahomet dont je rappelle qu’il est reconnu comme étant le fondateur de l’islam. Aujourd’hui, ce calife s’appele Ibrahim. Il demande à tous « les musulmans du monde de lui prêter allégeance et qu’ils rejètent la démocratie, la laïcité, le nationalisme et les autres ordures de l'Occident ». « Revenez à votre religion » prêche-t-il. Il y aurait donc plusieurs « islams » ? Décidemment tout ça devenait bien trop compliqué pour moi et après avoir tout de même beaucoup insisté avec la lecture de nombreux autres articles de presse et documentaires, j’ai fini par arrêter mes recherches à ce propos. Le lendemain, le site « L’Internaute » faisait paraître un article très intéressant sur Daesh intitulait « les 10 secrets de l’Etat Islamique » avec des résumés concis mais bien expliqués. Ce n’est pas pour autant que j’ai compris toutes les réelles motivations de Daesh et sa soif de créer un empire musulman à leur image c'est-à-dire belliqueux et révolutionnaire car prêchant uniquement la guerre sainte. Peut-être est-ce aussi trop compliqué pour les musulmans qui veulent vivre paisiblement leur religion ? En tous cas, il y a une chose que j’ai compris : Il ne faut pas confondre l'islam et l'adjectif islamique avec l'islamisme et l'adjectif islamiste. C’est écrit en rappel et en toutes lettres au début de l’article « islam » de Wikipédia. Le tout, pour le chrétien non pratiquant que je suis c’est d’arriver à m’en souvenir ! Je vous rappelle que certains étymologistes prétendent que les mots « chrétien » et « crétin » auraient la même origine, cela pour rappeler que tout individu, même malade mental doit être accepté et aimé de Dieu et que même souffrant de « crétinisme », il est avant tout un chrétien. « Dieu merci, je suis athée ! » comme disait un célèbre humoriste.

 

Les peuples abandonnés par des états défaillants et corrompus se rallient à Daesh. Les rangs de cette organisation grossissent à la vitesse grand « V » et nos gouvernants semblent frileux à intervenir énergiquement. La politique de Bush a été désastreuse et celle d'aujourd'hui n'est guère mieux car les pays occidentaux manquent de cohésion et de fermeté. Le fondamentalisme musulman menace la paix mondiale et notre liberté. Aujourd’hui, l’Etat islamique et ses adeptes dépassent largement les frontières de la Syrie et de l’Irak et ses ramifications et mouvances sont nombreuses dans toute l’Afrique et le Moyen-Orient. De nombreux djihadistes seraient également en Europe dont certains en France et des attentats auraient été déjoués en France, en Belgique et même au sein de la Commission Européenne apprend-t-on.  Sans compter qu’il y a aussi tous ces individus européens et américains qui se portent candidats pour aller faire le djihad. Ils seraient déjà plus de 2.000 dans les rangs de Daesh. Les "Fous de dieu" sont parmi nous et c'est l'écrivain Thomas H.Cook qui disait "c'est de la folie d'être pris pour un fou par d'autres fous". Où cela s’arrêtera t-il ? Laisserons-nous, nos valeureux journalistes et nos gentils bénévoles de nos organisations humanitaires continuer à se faire sauvagement égorgés et décapités sans rien faire ou presque ?

 

Daesh détient paraît-il encore une vingtaine d’otages et je vais prier très fort pour qu’ils soient tous libérés …….

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