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refugie

Annecy, ça suffit ! Macron, j'en ai marre de ton immobilisme et de ta ploutocratie !

Publié le par gibirando


 

Comment en ce mois de juin ne pas évoquer dans Mon Journal Mensuel cette incroyable, horrible et si lâche agression survenue le 8 juin à Annecy. Sans doute parce qu’elle touche de très jeunes enfants et donc des êtres totalement « inoffensifs », elle me touche encore plus qu’à l’habitude. Attention, quand je dis « habitude », il ne faut pas entendre que je m’habitue à toute cette sauvagerie,  pour ne pas dire monstruosité que la France connaît désormais. Une fois encore et donc une fois de trop, la France est le théâtre d’un acte d’une incroyable barbarie. Une fois encore et une fois de trop, l’agresseur est un homme venu d’ailleurs, lequel n’aurait jamais dû être là si j’en crois les premiers témoignages. De surcroît et comme indiqué de très jeunes enfants sont les principales victimes, victimes qui ont été horriblement poignardés. Que faisait-il cet agresseur en France depuis 8 mois alors que Syrien; il avait un statut de réfugié suédois ? Oui que faisait-il or mis d'être oisif mais malgré ça de parvenir à subsister, c'est à dire à vivre sans jamais ne rien faire ? Aujourd'hui et en seulement quelques heures, on connaît parfaitement toute sa vie antérieure, son parcours passé et présent et même son état de santé. Alors comment cela est-il possible et pourquoi cette enquête réussie en si peu de temps n'a pas été faite avant ? Elle aurait sans doute permis d'éviter ces agressions terrifiantes en le renvoyant soit en Suède soit dans son pays d’origine, c’est-à-dire la Syrie. Non, il est resté là et il est passé à l'acte. Pourquoi ? Oui, pourquoi est désormais la question que se posent nos gouvernants, Darmanin en tête. Alors, je vous le dis, je me fous de savoir pourquoi car c'est trop tard et le seul pourquoi qui m'intéresse, c'est de savoir pourquoi il était en France alors qu'il n'aurait pas dû y être et ce, afin d'éviter que d'autres cas identiques ne se représentent.  La réponse est que la France est dépassée et ne contrôle plus rien et voilà qu'une fois encore et une fois de trop, l'immigration massive et incontrôlée va faire la Une de l'actualité. Elle va déchirer les politiques, les partis, les médias et la société toute entière mais il faut craindre comme toujours que rien ne change dès lors que l'actualité sera passée à autre chose. Oui, nous créverons tous de cet immobilisme ! Si bien évidemment il faut prier pour que les victimes s'en sortent et avoir de justes compassions pour les familles, anticipons déjà le devenir de ce jeune homme venu d'ailleurs. 2 cas de figure se présenteront : 1- il sera reconnu malade et donc irresponsable et il ne sera pas jugé et nous tenterons de le soigner avec le risque qu'il ne s'échappe ou pire qu'il soit reconnu apte à sortir de son lieu de soins d'ici quelques années avec peut-être le risque d'une récidive. 2- Il sera reconnu responsable, sera jugé et prendra perpète, c'est à dire 30 ans maximum ou alors il ressortira avant si sa bonne conduite en prison est avérée. Dans les 2 cas, c'est avec notre pognon de contribuables que nous le conserverons dans notre pays pendant toutes ces années. Je vous le dis, perso je n'ai plus envie de payer pour ça ! Savez-vous combien coûte un détenu dans nos prisons ? 32.000 euros/ an ! Savez-vous quel est le prix moyen pour construire une cellule de prison ? 150.000 à 190.000 euros ! (Source Office International des Prisons, section française ). Alors Messieurs Macron, Darmanin et consorts arrêtez de vous poser les mauvaises questions, il y en a plein des bonnes qu'il faut d'abord résoudre ! Au 8eme siècle avant J-C, Homère écrivait : "la civilisation, c'est quand on a tout à perdre ; la barbarie, c'est quand ils ont tout à gagner". Ces derniers étaient bien évidemment les agresseurs de la Grèce homérique que l'on trouve dans les épopées que sont l'Iliade et l'Odyssée. Depuis de très longues années, nous  sommes en train de tout perdre de notre civilisation et de nos coutumes et nos gouvernants regardent constamment ailleurs se contentant d’être de simples communicants touchant leur gros chèque à la fin du mois. Quand je pense qu’Emmanuel Macron lors de son récent voyage en Afrique a eu le culot de dire au président de la République démocratique du Congo la phrase suivante : « Depuis 1994, vous n’avez jamais été capable de restaurer la souveraineté ni militaire ni sécuritaire ni administrative de votre pays. C’est une réalité. Il ne faut pas chercher des coupables à l’extérieur ». Oui quel culot ! Macron ferait mieux de balayer devant sa porte de l'Elysée au lieu d'aller deverser sa bile devant celle des autres. Quand en France des bébés dans des poussettes se font poignarder par un étranger qui n’a rien à faire dans notre pays, est-on apte à parler d'administration réussie,  de souveraineté et de sécurité intérieure ? Alors Monsieur le président faite votre job comme il le faut au lieu d’aller constamment à la rencontre des victimes et de ceux qui ont fait le leur avec votre sourire carnassier et vos discours à trois balles comme vous le faites dans cette horripilante vidéo. Et si vous ne vous sentez pas capable de le faire, si vous n’avez pas de solutions, partez et laissez au plus vite la place à un autre car il y urgence à ce que la France redevienne un pays sûr, propre, souverain et qui saura se faire respecter partout dans la monde. Ce n'est plus du tout le cas depuis de trop longues années !   

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E comme E.N.A....émotion non autorisée....

Publié le par gibirando


Comme des millions de personnes, peut être même des milliards, j’ai été ému et même ébranlé par cette photo du petit Aylan Kurdi. Ce petit enfant inerte et la face enfouie dans le sable d’une plage m'a perturbé et me perturbe encore. C'était sans doute le but des médias mais pas du photographe lui-même. Moi, si cette photo m’a heurté et ému, c’est parce qu’elle me ramène à un tas de choses dont j’ai bien envie de parler depuis quelques temps déjà. Bien sûr, si l’image de cet enfant mort sur une plage est choquante c’est parce que ce petit gamin, on l’imaginerait plus facilement entrain de courir, de se baigner, de faire des pâtés et des châteaux de sable comme le font nos petits-enfants, comme l’ont fait nos propres enfants ou comme nous l’avons fait nous-mêmes étant enfants. La plage, nous occidentaux, nous avons pris l’habitude de penser que ce sont les vacances, le bonheur, la joie de vivre, d’être en famille...et jamais la misère, l’horreur, la peur et encore moins la mort d’un si petit innocent. Moi-même, qui ai vécu en direct la noyade de mon frère aîné, alors qu’il avait 11 ans et qui en avait réchappé in-extremis, sauvé par les marins-pompiers de Marseille, heureusement, je n’avais jamais gardé cette image négative d’une plage de sable fin. Ce petit Aylan, c'est notre enfant, notre fils ou notre petit-fils !

 

Cette photo c’est donc un grand « E » comme émotion, ébranlement, effroi mais aussi comme émigration et malheureusement comme « effronterie» également. Effronterie de nos hommes politiques bien sûr, qui tout à coup, à la vue de cette photo insoutenable, semblent prendre conscience que l’émigration serait un problème nouveau alors que quelques jours plutôt, 71 migrants dont des enfants ont été retrouvés en décomposition dans un camion sur le parking d’une autoroute autrichienne. L’horreur absolue mais dont nous avons eu la vision fugitive d’un camion vide seulement. Voilà toute la différence. L’information choque mais comme on ne voit rien, on passe et on pense à autre chose. Pourtant des milliers de migrants sont déjà morts en Méditerranée mais jusqu’à alors, les médias nous avaient épargné de photos trop révoltantes. Je ne dis pas que nos hommes politiques sont insensibles à cette photo du petit Aylan mais ils sont hypocrites et laissent pourrir les situations. Ils ne semblent jamais disposer à traiter les problèmes à leurs sources. D’ailleurs, il faut bien reconnaître que bons nombres de pays, en Europe ou dans le monde,  ne sont jamais d’accord sur les solutions à adopter et proposées par un tel ou un tel. Les problèmes et leurs éventuelles solutions, ils préfèrent les ignorer.  C’est beaucoup plus simple, ça ne coûte rien et ça ne fait pas de vagues. Exemple : Plutôt que de trouver une solution à la guerre en Syrie, les hommes politiques les plus précautionneux parlent de quotas d’immigration mais quand ces derniers auront été atteints voire dépassés où cherchera-t-on la solution suivante ?

 

Depuis combien de temps n’a-t-on plus entendu parler de la guerre en Syrie, pays du petit Aylan ? Et d’ailleurs sait-on vraiment qui est notre ennemi dans ce terrible conflit ? Bachar el Assad ? Daesh ? La Russie de Poutine ? Poutine lui-même ? Les chinois ? L’Arabie Saoudite ? Le Qatar ? Pourtant, on sait parfaitement qui financent Assad et Daesh et malgré ça, de nombreux pays, la France y compris,  font des ronds de jambe à ces pays-là. Pourtant tous les hommes politiques sont d’accord pour reconnaître que la véritable solution à ces problèmes migratoires ne viendra qu’après la résolution des conflits qui ne cessent de s’amplifier au Moyen-Orient et en Afrique. Que fait-on désormais en Irak et en Libye après les avoir soi-disant libérés d’un joug dictatorial ? On leur pompe leurs pétroles, leurs gaz et leurs minerais ? Et puis après ? On leur vend des Rafales, des porte-hélicoptères, des armes hyper puissantes qui, peut être, se retourneront un jour contre nous, au regard de l’instabilité totale qui règne dans ces régions-là ?

 

En réalité, tout est devenu « géoéconomique », « géopolitique » et « géostratégique » et les solutions ne sont pas pour demain. Y a-t-il d’ailleurs des solutions ?  L’Europe de la C.E.E n’a engendré qu’une seule bonne chose : la Paix et c’est bien là l’essentiel, en tous cas pour nous, européens occidentaux.  Alors, si une majorité de ces européens sont contre l’arrivée massive de migrants, c’est parce qu’ils voient dans ce phénomène, une cause réelle et sérieuse d’instabilité chronique. L’argent vient sans doute en deuxième position car la crise économique est passée par là et elle est loin d’être terminée pour le citoyen lambda. Mais pour le reste, les pays ne s’entendent pas et c’est du « chacun pour soi ». De nombreux pays n’ont été acceptés dans l’Union Européenne que pour la paix essentiellement.  Avoir la paix le plus longtemps possible avec eux, voilà le véritable intérêt, mais pour les autres sujets, nous sommes à des années-lumière de leurs idées rétrogrades et bien évidemment cela pose d’énormes problèmes d’entente. On laisse pourrir la situation ukrainienne car on a peur de la réaction de Poutine d’autant qu’Obama est un pacifiste « frileux ». On n’arrive pas à régler les problèmes de la Grèce que l’on a mis sous perfusion financière depuis le temps où elle était gouvernée par des dictateurs corrompus. Dans la C.E.E, on a accepté l’entrée de nombreux pays de l’Est essentiellement pour que la Russie n’est pas de suprématie sur eux, mais l’hégémonie, l’influence et les relations « bonnes » ou «  mauvaises » ont néanmoins perdurées. On conduit des politiques pour que le « système économique et financier » fonctionne au mieux. Pour plaire aux plus riches de la planète qui sont en réalité les seuls et vrais gouvernants. Mais pour eux, gouverner, c’est toujours faire plus de « fric ». Plus de « fric », c’est plus d’influence sur les élus de tous niveaux et de tous bords, c’est plus d’influence sur les lobbys et si des millions de pauvres migrants quittent leur pays, ce n’est pas vraiment leur problème. Non, ces gens-là préfèrent spéculer en bourse, investir dans le foot et plus globalement dans toutes ces activités lucratives où l’argent est le seul maître-mot. Moi, « Maître du Monde » disait l’un de ces milliardaires et on a à même tiré un film.

 

Aujourd’hui, tout va à vau-l’eau, les hommes politiques ont toujours besoin de plus en plus d’argent pour leurs campagnes électorales à répétition. Une élection se termine et ils pensent déjà à la suivante. Ils en sont le plus souvent à penser à leur propre avenir plutôt qu’à celui de leurs concitoyens. Ils savent qu’ils n’ont pas la clé des problèmes qui se posent et ne font que semblant de vouloir les résoudre. De ce fait, ils vivent le plus souvent endormis dans leurs dogmes et loin de la réalité des peuples qu’ils sont censés gouverner. Une problème surgit et il faut vite le résoudre avant qu’il n’enfle, s’amplifie et explose. Ils appréhendent par dessus tout l’explosion populaire et ne font que le juste nécessaire pour maintenir un semblant de paix sociale. Cela est vrai pour le chômage comme pour l’immigration et comme pour les difficultés que rencontrent les éleveurs par exemple. Ils demandent aux citoyens lambda de mettre la main au cœur ou à la poche car ils savent que c’est la seule issue « plausible » et en tous cas la moins contraignante. Pour eux, marcher jusqu’à la source des problèmes est un chemin bien trop long, bien trop ardu et solitaire et de ce fait, on préfère l’éviter et en prendre un plus court.

 

Pour être honnête, il n’y a pas de quoi être fier d’être un homme politique de nos jours. Resté au sommet d’un soi-disant pouvoir et dans les médias, voilà le leitmotiv de la plupart d’entre eux. Ce n’est plus un sacerdoce mais un plan de carrière.

 

 E….comme E.N.A…..émotion non autorisée…..Ouf, je suis content, je ne sors pas de l’E.N.A.

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