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Le Balcon de Céret (423 m) depuis Céret (158 m) (La Nogarède)

Publié le par gibirando


Ce diaporama est agrémenté de 3 musiques jouées par l'ensemble musical Rondò Veneziano. Elles ont pour titre : "Danza Mediterranea""Splendore Di Venezia" et "Perle d'Oriente".
BALCONCERETIGN

Le Balcon de Céret est une balade pédestre bien connue des Cérétans mais également de nombreux autres marcheurs catalans. Elle constitue une « classique » pour tous les clubs de randonnées du département et désormais sa réputation va même bien au delà puisque certaines associations pédestres audoises ou héraultaises viennent parfois y user leurs godillots à l’occasion d’une visite de la Mecque du cubisme. L’été, les touristes le cheminent volontiers car ses portions ombragées en font une sortie pleine de fraîcheur plutôt agréable. . Enfin, comme de nombreuses  randonnées « incontournables », le Balcon de Céret figure dans plusieurs topo-guides régionaux. L’itinéraire est donc bien connu et pratiqué, parfaitement balisé et assez facile à entreprendre. En ce début du mois juin, Dany et moi sommes donc partis vers Céret pour tenter de comprendre ce qui pouvait attirer autant de monde sur ce balcon.  A toutes ces excellentes raisons, nous en avions quand même rajoutées trois autres avant de nous décider : la première et sans doute la meilleure, c’est que nous ne l’avions jamais réalisé, la deuxième, c’était sa distance plutôt modeste correspondant bien à ce que Dany était capable d’accomplir à cet instant compte tenu de ses diverses douleurs articulaires et enfin troisième et dernier motif, la description très incitative que l’historien Jean Tosti en faisait dans son blog consacré à la cité : "Une belle promenade est à faire au Balcon de Céret, par une petite route partant de la place des Tilleuls. Plus on monte, plus les points de vue sont merveilleux. Une balade à ne pas faire en voiture, ce serait du gâchis"Nous avons donc suivi les conseils de l’historien et les directives de notre topo-guide et c’est donc avec cet objectif de voir des points de vue merveilleux que nous avons rejoint Céret,  direction la rue de Nogarède et plus spécialement le parking du Mas éponyme. Ce dernier sert de centre de loisirs aux associations de la commune. Quelques panonceaux indicatifs de randonnées sont là sur le parking et notamment celui indiquant le départ du Balcon. La direction n’est pas réellement indiquée mais pour quelqu’un qui comme moi a pris soin de lire le topo-guide, il n’y a aucun problème puisque un autre panonceau indique très clairement la direction à prendre pour se rendre aux mas Falguerolles et d’en Poble se trouvant sur l’itinéraire. On remonte vers l’est la rue de Nogarède jusqu’à son extrémité puis à droite le chemin de Falguerolles. Après avoir cheminer le bitume au milieu de quelques belles villas, on atteint un dernier mas à quelques encablures de la forêt. On s’y arrête pour observer de bien étranges cactus joliment fleuris. Si j’emploie le mot étrange c’est parce qu’il y a quelques beaux spécimens d’Echinopsis aux superbes fleurs blanches et roses qu’on appelle parfois à tort « coussins de belle-mère » et plus couramment « Cactus Oursin » mais surtout, il y a plusieurs Figuiers de Barbarie montant en arbres et aux « raquettes » complètement inermes c'est-à-dire sans aucune épine ni poil urticant qu’on appelle des glochides.  Très étonné, je demande au propriétaire qui est là dehors si je peux lui chiper une « oreille de Mickey ». Il accepte bien volontiers et voilà que je casse une oreille au figuier et la glisse dans ma poche sans aucun problème. Bien ferme et absolument inoffensive pour la peau, elle va rester ainsi au fond de ma poche toute la journée, sans aucun problème.  Je remercie l’homme et nous poursuivons notre chemin vers le bois que nous atteignons très rapidement. Si de nouveaux panonceaux sont là à cette intersection de chemins indiquant clairement le « Balcon de Céret », nous optons d’abord pour la cascade malgré deux informations contradictoires qui en indiquent malgré tout la modeste proximité : 5 minutes pour l’un et 25 minutes aller/retour pour l’autre mais peu importe nous y allons quand même. Cette cascade c’est celle de Baussos dont j’ai entendu parler mais que je ne connais pas. Superbe, tranquille et rafraîchissante, nous allons nous y attarder à un point tel que nous aurions presque oublié que nous étions venus pour un autre motif : le Balcon de Céret. Pique-nique, photos et bains de pieds vont ponctuer ce long arrêt improvisé. Une heure et demi plus tard mais avec une paresse incroyable, nous estimons qu’il est temps de rebrousser chemin et de se consacrer à notre balade. Un sentier s’élève franchement dans une végétation de type maquis constitué principalement de bruyères arbustives, de cistes, de quelques lavandes à toupets et bien sûr des inévitables chênes qu’ils soient verts, blancs ou lièges. Au départ, les vues s’entrouvrent joliment sur Céret et sur ses proches alentours. Un peu plus loin, on profite de chaque ouverture pour observer des paysages un peu plus lointains vers la Plaine du Roussillon et les Albères notamment. Puis, les panoramas disparaissent et le sentier se faufile exclusivement dans une végétation plutôt épaisse. De toute manière, le sentier se faisant plus caillouteux, les yeux se consacrent essentiellement à examiner le sol et les pieds. 2 kilomètres plus loin et 200 mètres plus haut, on atteint le Mas d’en Poble, petit domaine paisible posé au milieu de prés verdoyants. Une large piste terreuse prend le relais du sentier mais atteint très vite l’asphalte d’une route que l’on emprunte vers la droite. Bien qu’en balade pédestre, le bitume ne soit jamais la panacée, ici, grâce aux décors plutôt variés et contrastés, de surcroît sur une portion plane,  on l’oublie assez vite : mas, cerisaies, parties forestières ombragées, panoramas lointains, prairies verdoyantes où paissent quelques moutons donnent à cette route un attrait incontestable. Ici, les points de vue merveilleux de Jean Tosti se dévoilent et on regrette simplement que le Canigou soit entièrement enveloppé d’un épais matelas nuageux le rendant ainsi invisible. 1.300 mètres plus loin,  on quitte le bitume au profit d’un étroit sentier qui descend dans un bois en direction d’un petit vallon et du Mas d’en Clic. Au fond du vallon, on enjambe le Correc de Nogarède, celui-là même où nous faisions « trempette » à la cascade de Baussos quelques heures plus tôt. Ce ruisseau dissocie la forêt de quelques vergers et terrains cultivés. Après le Mas d’en Clic, on retrouve le maquis et ici commence le sentier dit de la Porte de fer. La Porte de fer est un abri sous roche ayant été fréquenté depuis des temps immémoriaux et dans lequel les archéologues ont retrouvé des fragments de poteries ainsi que des pièces de monnaie romaines. Ce sentier longe un vieux canal d’arrosage aujourd’hui rafistolé de « bric et de broc » mais ayant eu en son temps ses heures de gloire. Taillé dans la roche et fonctionnant encore aujourd’hui, ce canal construit en 1866 captait ses eaux dans le Tech du côté d’Amélie-les-Bains. Chemin faisant, il alimentait toutes les fontaines du canton et pendant très longtemps, il a été le principal moyen d’irrigation de tout le Bas-Vallespir. Une stèle en hommage aux exploitants ayant financé sa construction s’élève sur la place des Ormeaux à Céret. Depuis ce canal, on profite de chaque fenêtre s’entrouvrant sur la cité puis le sentier finit par atteindre le goudron de la route Jean Caball. Là, sur la gauche, à moins de 500 mètres de distance, il y a une superbe table d’orientation vers laquelle on peut effectuer un rapide aller/retour avant de poursuivre entre murets, champs et jardins vers l’ancien couvent des Capucins cher à Frank Burty, peintre, créateur puis conservateur du Musée d’Art Moderne. Les premières maisons de Céret sont déjà là et la balade tire à sa fin. On emprunte la rue des Capucins puis à droite l’avenue d’Espagne en passant devant le stade et le lycée Déodat de Séverac. On poursuit l’avenue d’Espagne jusqu’au camping le Bosquet de Nogarède puis juste après le camping, on emprunte un escalier qui rejoint la rue de Nogarède.  La balade au Balcon de Céret est finie et nous ne regrettons pas de l’avoir accomplie. Selon le tracé enregistré dans mon GPS, cette boucle a été longue de 11km500 incluant bien sûr les allers et retours vers la cascade de Baussos et la table d’orientation ainsi que quelques divagations personnelles pour aller photographier une fleur des champs ou bien un oiseau. Je ne vous dirais pas le temps que nous sommes restés sur ce modeste parcours car même arrêts inclus vous trouveriez ça très exagéré voire ridicule. Enfin, en randonnée, l’essentiel n’est-il pas de prendre du plaisir ? Nous en avons pris ! Carte IGN 2449 OT Céret – Amélie-les-Bains – Palalda – Vallée du Tech Top 25. 

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L'Ermitage Saint-Ferréol (300 m) depuis Céret (144 m)

Publié le par gibirando

 
Ce diaporama est agrémenté de 3 musiques composées par Vangelis Papathanassiou dont les titres sont "D'Opéra Sauvage" jouée ici par Alain Duvall Ensemble, "Irlande" par Vangelis et "Hymne" par Peter Weekers/Star Inc.
L'ERMITAGE-DE-SAINT-FERREOL
ERMITAGESTFERREOLIGN
Pour agrandir les photos, cliquez dessus. 2 fois pour un plein écran.

Si les balades pédestres autour de Céret sont multiples et variées, celle qui consiste à partir, depuis le légendaire Pont du Diable vers la paradisiaque « chapelle Saint-Ferréol » est sans doute, et de très loin, la plus prisée. Plusieurs raisons à cela : la beauté de l’objectif et la sérénité que l’on peut y trouver, les panoramas que l’on peut y découvrir par temps clair et pur qui vont de la Méditerranée jusqu’au Massif du Canigou et enfin son approche et sa distance qui en font une balade quasiment ouverte à tous. D’ailleurs, qualifiée de « familiale », c’est bien ainsi que cette balade est cataloguée dans le petit topo-guide intitulé « Randonnées en Bas-Vallespir » édité par la Communauté des communes du Vallespir et le Conseil Général. Je précise au passage que ce topo-guide est très facilement téléchargeable sur Internet depuis la page de l’Office de Tourisme du site de la commune de Céret ou directement sur la page d’accueil de la Communauté des communes du Vallespir. Quand on aime la randonnée comme je peux l’aimer, je trouve cette initiative plutôt « géniale » et puis je me dis que tout le monde n’a pas 10 à 15 euros à mettre dans un topo-guide. Enfin, pour ceux qui ont les moyens, sachez que l’on retrouve cette « incontournable » dans d’autres guides de randonnées et notamment dans celui intitulé « Les Pyrénées-Orientales…à pied » édité par la fédération. Quand on arrive du Boulou, le départ s’effectue depuis le petit parking du Pont du Diable qui se trouve à l’entrée de la ville, à droite, juste avant le pont. Là, des panonceaux explicites nous indiquent clairement la marche à suivre et il va en être ainsi tout au long de ce circuit de 9 kilomètres environ, selon mon propre relevé. On emprunte la D.615 passant sous la voie ferrée et on tourne immédiatement à droite en suivant le chemin de Vivès qui traverse les jolies villas du quartier  « la Porte du Vallespir ». Pas à pas, l’itinéraire zigzague dans les rues et nous entraîne hors de la cité puis au milieu des cerisaies qui ont fait,  à juste titre, la réputation de Céret. A l’intersection du Cami de Sant Fariol et à moins d’être complètement aveugle ou idiot voire les deux en même temps, un « casot » amplement tagué et une multitude d’indications nous indiquent la direction de l’ermitage. On poursuit toujours sur l’asphalte en suivant le balisage jaune et les nombreux panonceaux directionnels bien présents à chaque intersection. C’est donc sans aucune difficulté que l’on quitte d’abord le bitume au profit d’une piste terreuse puis, peu de temps après, on délaisse cette même piste au bénéfice d’un étroit sentier qui entre dans un sous-bois de chênes en traversant au préalable le petit « correc » de Saint-Ferréol asséché. Après une bonne grimpette sur un sentier parfois transformé en une large et unique ornière, on accède à un large chemin près d’un calvaire surmonté d’une croix de fer. Ici, un premier palier est atteint et des vues superbes commencent à apparaître : sur l’ermitage bien sûr mais aussi sur les chaudes couleurs automnales de la végétation des serrats avoisinantes et enfin, beaucoup plus loin à l’horizon, sur les cimes magnifiquement enneigées de notre fabuleux « Canigò ». On délaisse le large chemin et l’on poursuit toujours tout droit l’itinéraire qui file dans des sous-bois où chênes verts et chênes lièges se disputent l’espace. Cette sente finit par rejoindre une nouvelle piste sous d’immenses platanes et près d’un grande fontaine mais il faut encore s’élever de quelques centaines de mètres pour conquérir l’ermitage. Seuls au monde et dans un silence de cathédrale,  nous allons y rester plus d’une heure goûtant à la fois à la douce découverte de ce lieu si serein et au bonheur d’un pique-nique champêtre animé pas un couple de rouges-queues noirs peu farouches. Peu farouches, avant qu’un groupe de randonneurs, bien trop bruyants à leur goût et au notre, nous oblige tous à déguerpir vers d’autres cieux plus paisibles. Il faut dire que l’ermitage est fermé et qu’il est encore bien trop tôt pour attendre la première heure d’ouverture qui est 14h30. Nous reviendrons c’est sûr mais en voiture sans doute. Or mis cette petite déception que nous comblerons certainement un peu plus tard, nous repartons avec le regret qu’un brouillard bien trop bas et bien trop épais ait obstrué toutes les vues proches ou lointaines sur les Aspres, les Albères et la plaine du Roussillon. Seul le Canigou et une petite partie du Vallespir restent visibles et c’est déjà pas mal pour la saison. Dans l’immédiat, il nous faut poursuivre l’itinéraire qui passe au pied des dépendances et descend en direction du parking de l’ermitage. Là, il suffit de poursuivre la petite route qui va rejoindre la D.615. Dès le virage, il faut noter une différence entre le balisage indiqué sur les différents topo-guides et la réalité sur le terrain, En effet, plutôt que de poursuivre le bitume de la D.615, le balisage nous indique une variante par un étroit sentier qui monte à droite dans un petit bois filant vers le lieu-dit « Bigne de la Gouardy ». En effet, en atteignant une petite crête bien dégagée, les panoramas sont assez exceptionnels et une fois encore, on regrette qu’un brouillard assez dense occulte les vues les plus lointaines. On retrouve le balisage qui, une nouvelle fois, nous emmène sur la D.615 puis sur le chemin dit « du Roc Blanc ». Toujours rectiligne et très agréable car le plus souvent en balcon sur le plus haut de la colline du Serrat de l’Albitre, ce chemin rejoint un peu plus bas le chemin de l’Oratori puis un étroit sentier offrant de jolies points de vue sur Céret et le Vallespir. Ce sentier se termine au sommet d’un escalier très abrupt que l’on descend pour rejoindre la cité et le parking du Pont du Diable. Ainsi se termine cette jolie boucle que l’on pourra compléter par une autre balade cérétane, celle de la cité elle-même qui possède de nombreux autres attraits historiques et paysagers. Si j’ai volontairement omis de vous parler de l’histoire de l’ermitage Saint Ferréol, c’est parce que les topo-guides indiqués plus haut en font un bref mais très intéressant résumé. En outre et comme toujours, je vous renvoie vers l’excellent site de l’Histoire du Roussillon sur lequel vous trouverez une description plus précise et plus complète de ce haut-lieu du pèlerinage et du recueillement. Carte IGN 2449 OT Céret – Amélie-les-Bains- Palalda- Vallée du Tech Top 25.

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Le Dolmen de la Siuréda et la Tour de Bel Oeil depuis Maureillas.

Publié le par gibirando



 
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Deux jolies curiosités à découvrir pour le prix d’une seule randonnée, qui plus est sans réelle complexité. Au menu, environ trois à quatre cent  mètres de dénivelé pour trois à quatre heures de marche effective sur un bon sentier balisé ou sur un large piste forestière, voilà le décor est planté !  A Maureillas, laissez votre voiture sur le grand parking qui jouxte l’aire de loisirs, direction Céret. Enjambez le pont de la rivière Maureillas et traversez vers la gauche le pré adjacent. Très rapidement vous trouvez le balisage jaune que vous ne quittez plus. Le sentier se faufile à travers les lotissements Mas d’en Bac et d’en Bruno, puis il commence à prendre de la hauteur, s’enfonce dans un bois, longe la clôture d’un camping puis débouche sur un vaste pré où les premiers panoramas sur les Aspres s’entrouvrent.  Le sentier continue de s’élever à travers une généreuse végétation faite de hautes bruyères arborescentes, d’amples genêts parfumés, de buis aux petites feuilles luisantes, de pins maigrichons mais surtout de chênes-lièges,  maîtres incontestés de cette verte toison ! Ce chêne règne ici depuis plus de 8.000 ans et a eu ses beaux jours avec une économie jadis florissante celle des bouchonniers.  D’ailleurs, n’est-ce pas non loin de là à Reynes que se trouve le chêne-liège le plus remarquable du monde avec ses 300 ans, ses 5,60 m de circonférence pour une hauteur de plus de 20 m ? Dans un virage, on vous indique d’aller voir une tour : C’est celle de Bel Œil ou Torre Bel Ull sur certaines cartes.  Gardez cette trouvaille pour le retour ou bien allez-y tout de suite car cette tour à signaux en partie en ruines mérite ce petit détour ! Vers le nord les panoramas sur le Roussillon en général  et sur le Bas-Vallespir et les Albères en particulier sont splendides !  Vers le sud, c’est un enchaînement de croupes verdoyantes qui ondulent vers la crête frontière. Dans cet océan de collines, seule la D.13 qui serpente vers Las Illas se révèle.  La minuscule route ressemble à un long reptile grisâtre qui aurait toutes les peines du monde à se frayer un chemin dans cette gangue verdâtre. Celui de notre randonnée est plus facile, poursuivez tout droit vers les luxueuses villas des Hauts de Céret que vous commencez à entrevoir.  Vous laissez les maisons sur votre droite et atteignez une large piste d’exploitation qu’il vous faut monter sur quelques centaines de mètres. Là, sur votre gauche, vous tomberez sur le Dolmen de la Siuréda. Il s’agit d’un dolmen composé d’une dalle horizontale posée sur trois dalles verticales (photo), le tout dressé sur un tumulus circulaire parfaitement visible. Les fouilles entreprises sur le site ont permis la découverte d’éléments funéraires préhistoriques prouvant qu’il s’agissait bien d’un caveau mortuaire. Mais bon, ne gambergez pas trop, nous étions tout un groupe à déjeuner sur le tumulus et aucun « esprit malin » n’est venu troubler cet excellent pique-nique et notre digestion ! Le retour peut se faire par le même chemin mais consultez la carte car il existe aussi des solutions pour transformer en une boucle plus longue cette belle petite randonnée ! Carte IGN 2449 OT Céret-Amélie-les-Bains-Palalda Top 25.

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