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Le Circuit de Pufféré et des Bruères depuis Saint-Martin-de-Fenouillet.

Publié le par gibirando

Ce diaporama est agrémenté de 2 "standards" du jazz que sont "Beautiful Love (Wayne King)" et "Windows (Chick Corea)". Ils sont interprétés ici par le trio de jazz coréen "Jazzholic" avec la participation de Young Sun Jung, Jin Wood Park, Joon Young Heo et Eun Hee Kim.  

Le Circuit de Pufféré et des Bruères depuis Saint-Martin-de-Fenouillet.
Le Circuit de Pufféré et des Bruères depuis Saint-Martin-de-Fenouillet.

Pour agrandir les photos, cliquez dessus.

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Quand nous nous sommes lancés dans cette balade pédestre que j’ai intitulée « La Boucle de Pufféré et des Bruères depuis St-Martin-de-Fenouillet », nous étions le 9 février et c’était la vraie première randonnée de l’année 2025. A vrai dire, ce matin-là, alors que Dany avait envie d’aller marcher, j’avais beaucoup improvisé. Nous partions presque sur un coup de tête et sans trop de préparation et donc pas mal dans l’inconnu quant aux sentiers et chemins que nous devions emprunter. J’avais à peine eu le temps de regarder la carte IGN et une vue aérienne sur Géoportail et enregistré un tracé dans mon GPS. Si je connaissais quelques petits bouts de ce parcours (*) car j’étais venu plusieurs fois dans ce secteur, ma crainte était que l’on soit confronté à une ou plusieurs propriétés privées totalement clôturées. Il n’en fut rien, même si du côté des Bruères, nous avons traversé une zone de pâturage avec une excessive prudence tant de nombreux bovins étaient présents au bord du chemin et à proximité d’une imposante ferme. Il est vrai que nous étions passés outre une interdiction « sauf ayants droit » toujours très contradictoire quand il s’agit de randonneurs et ce d’autant qu’un autre panneau contigu au premier n’évoquait qu’une voie DFCI (Défense des Forêts contre les incendies) et le cas d’une interdiction  de « circulation générale » mais sans doute à l’aide de véhicules.  Une fois encore, les randonneurs avaient été oubliés et nous ne savions que faire. Etions-nous concernés alors que nous ne faisions que nous promener dans la Nature sans autre but que l’espoir d’y avoir accès ? En démarrant, n’y avait-il pas un grand panneau mentionnant « Découvrez notre territoire » ? Le démarrage parlons-en. Nous venons de laisser notre voiture sur un pré faisant office de parking. Il est situé juste à côté du cimetière de Saint-Martin-de-Fenouillet. Il est presque midi quand nous démarrons de la rue de la Tramontane et passons devant l’église blanche dédiée bien évidemment à Saint-Martin. Elle est fermée,  mais pas étonnant car à vrai dire je ne l’ai jamais trouvée ouverte. Aujourd’hui pas de tramontane, pas de vent du tout et seulement un ciel opalin pas trop génial en terme de luminosité pour les photos que j’envisage de prendre. Connaissant bien le début du parcours filant vers Le Vivier, je n’ai aucun mal à retrouver la rue des Jardins puis celle de la Fontaine puis finalement notre chemin menant vers ce qui ressemble à une aire de jeux agrémentée de quelques gradins. Là, quelques mètres plus loin, nous stoppons dans une aire de pique-nique blottie dans une yeuseraie. La précipitation qui a prévalu à cette balade nous a empêché de déjeuner et les tables et les bancs tombent à point nommé pour manger nos sandwichs. Une demi-heure plus tard, nous repartons. Comme toujours, je suis en quête de la flore et de la faune. Si cette Nature est plutôt « misérable » au début, le résultat final sera globalement satisfaisant pour un mois de février avec énormément de passereaux. Il est vrai que le dérèglement climatique perturbe les animaux comme il le fait pour les humains. Aujourd’hui, les passereaux sont probablement de retour à cause des températures qui sont loin d’être hivernales. Il en sera de même avec certains papillons en général visibles plus tardivement dans la saison. Avec cet après-midi sans vent, je suis certain que l’on frôle les 20 degrés. Quand les oiseaux et les papillons disparaissent, je me rattrape avec les paysages proches et les panoramas lointains car si le ciel est blafard, il ne bouche rien. Corbières catalanes, Massif du Canigou, Le Vivier, Forêt de Boucheville, Pech de Fraissinet, La Pelade et Fosse me ramènent à bon nombre d’autres balades qu’il serait trop long de lister ici. Parmi toutes ces découvertes, les forêts que j'aperçois en permanence me renvoient à ce souvenir fantastique d'un Tour du pays Fenouillèdes réalisé avec mon fils en 2011. Vous n’aurez aucun mal à retrouver tout cela en tapant ces noms-là dans la rubrique « recherche » de mon blog. Vers la fin, il en sera de même en retrouvant un panonceau directionnel mentionnant « le Sentier des Hauts de Taïchac » que nous avions réalisé il y a fort longtemps. Hormis tout cela, il faut retenir le lieu-dit « la carrière » sur la carte IGN qui est devenu un étrange lieu de vie. Etrange car outre un habitat dans cette garrigue minérale, on y aperçoit un curieux kiosque et une surprenante passerelle permettant d’enjamber cette ancienne carrière remplie d’eau désormais. Au fond, on y a même aperçu un petit youyou dont on était en droit de se demander ce qu’il faisait là dans cet endroit si insolite mais aussi si désert à l’instant où nous passions. Il est 14h40 quand nous retrouvons la signalétique « Saint-Martin-de-Fenouillet ». Moins de 10 minutes plus tard, nous retrouvons la rue de la Tramontane puis notre voiture tout près d’un chenil. Enfermé derrière un grillage, un chien de chasse solitaire gémit. Dès que nous approchons, il retrouve une incroyable sérénité comme si notre présence le rassurait. Nous ne pouvons pas l’atteindre pour le caresser un peu et quittons les lieux avec le sentiment de l’abandonner à son triste sort. Cette randonnée a été longue de 6,6km. Les montées cumulées ont été de 280m. Le dénivelé est de 104m entre le point le plus bas (418 m au départ ) et le plus haut (522m après l’ancienne carrière de Pufféré). Carte IGN 2348 ET Prades – Saint-Paul-de-Fenouillet top25.

(*) Autres randonnées réalisées au départ de Saint-Martin-de-Fenouillet : 

-Le Sentier des Hauts de Taïchac (632m) depuis St-Martin de Fenouillet (426m)

-Le Circuit du Jardin Ensoleillé depuis Saint-Martin de Fenouillet

-Le Cami d'El Viver (ou chemin du Vivier) depuis Saint-Martin-de-Fenouillet

 

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Le Circuit des Combes au départ d'Estagel

Publié le par gibirando

Ce diaporama est agrémenté de 6 chansons en langue anglaise et à succès dont les titres et les interprétes sont les suivants : "What A Wonderful World" par Rod Stewart en live au Royal Albert Hall, "Something' Stupid" par Robbie Williams et Nicole Kidman, "The Love Of My Life" par Adele et Ed Sheeran, "Fly Me To The Moon" par Rick Hale et Breea Guttery, "The Long And Winding Road" par George Michael en live au Royal Albert Hall  et "Hard To Say I'm Sorry" par le duo Sweetnotes Music

Le Circuit des Combes au départ d'Estagel
Le Circuit des Combes au départ d'Estagel

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Toujours à la recherche de nouvelles randonnées, je fouine sur le site Géoportail ou sur les cartes IGN de mon vieux logiciel Carto Exploreur en quête de chemins et de sentiers pouvant le cas échéant constituer un parcours. C’est donc comme ça que j’ai imaginé celui-ci que j’ai intitulé « Le Circuit des Combes au départ d’Estagel ». Là, pour être honnête, cette recherche autour d’Estagel et sa conclusion ont été plutôt faciles car il y a pléthores de voies possibles et celles trouvées ici étaient même pour la plupart surlignées en mauve comme toutes les « bonnes » traces de la Fédération Française de la Randonnée Pédestre. Seul petit problème, en ce 24 novembre 2024 quand nous l’avons réalisé, je m’attendais à lui trouver un nom sur des panonceaux directionnels et l’idée d’être obligé de lui en donner un ne m’était pas venu immédiatement à l’esprit. Mais aucun panonceau ne sera visible jusqu’à la Coma Major. Certes, je n’avais trouvé aucun topo sur le Net, mais le surlignage mauve d’une belle partie de la boucle imaginée m’avançait à dire  « il a bien un nom » ce parcours !  Ce n’est qu’une fois qu’il m’a fallu réaliser ce reportage que la nécessité est finalement advenue. Non, je ne l’ai trouvé nulle part tel qu’accompli et expliqué ici. De ce fait, c’est encore Géoportail et sa carte IGN qui me sont venus en aide et cette appellation de « Circuit des Combes » est venue à moi comme une évidence. En effet, au cours de notre cheminement, nous commençons par dominer « la Coma ou Coume d’en Ceret » puis un peu plus loin c’est la « Coma Major » ou « Coume Majou »  et on finit par les « Comelles dels Barrencs ». Quand on sait que le mot catalan « coma » ou « coume »  signifie « combe » et que les « comelles » ou « coumelles » sont le diminutif au pluriel du mot catalan « comella » signifiant « petite combe »,  il ne faisait plus aucun doute que c’est bien ces dépressions-là ;  zébrées d’une quantité de ruisseaux (còrrecs) et de rus (recs) ;  qui avaient été à l’honneur tout au long de ce parcours. Les crêtes les dominant n’ayant pas de noms sur la carte IGN, les possibilités d’autres dénominations disparaissaient.  Toutefois et pour être honnête, cette balade proposée ici reprend en partie un parcours intitulé «  De vignes en garrigues » mais avec un départ et un retour à Montner. Voilà mon préambule. Il est 10h15 quand nous entrons dans Estagel à la recherche d’une place de parking. En ce dimanche matin, tous les parkings sont bondés et les places sont apparemment très recherchées dans la commune. Finalement, c’est place du Général de Gaulle, assez loin de la ligne de départ qui est la D.612 ou rue du Docteur Léopold Sauvy que nous en trouvons une. Mais après tout, nous sommes là pour marcher et ce n’est pas quelques mètres supplémentaires qui freinent nos premières ardeurs.  La suite par le Boulevard Victor Hugo puis par la rue Michelet est assez simple même si le tracé enregistré dans mon GPS sera ; malgré un balisage jaune plutôt bon ;  d’une belle utilité tout au long du parcours. Si au début le bitume est très présent, dès la campagne atteinte, on l’oublie assez vite grâce aux proches décors et aux amples paysages plus lointains qui se dévoilent sous un ciel joliment laiteux hésitant entre le bleu et le blanc. Ce parcours va alterner voies asphaltées et chemins terreux. Au loin, le brumes épaisses qui nous avons aperçues en venant à Estagel tendent à se dissiper et nous font penser que le bleu finira par prendre le dessus. Si les premiers pas sous une ombre « piquante »,  on nécessitait que l’on s’habille d’une polaire, les premiers rayons du soleil réchauffent rapidement nos jambes et nos corps quelques peu engourdis. Si pour Dany, seuls les panoramas et les paysages comptent, je vais constamment y ajouter une Nature moins figée, moins inerte ; que sont les fleurs, les oiseaux et plus globalement ce que les philosophes appellent « le vivant ». Ici, outre la faune déjà citée,  ils prendront les traits de quelques papillons et autres insectes de saison, libellules et criquets notamment. Si l’on sait que le dérèglement climatique n’est pas une bonne chose pour la Nature et les hommes, je constate que certaines plantes sont encore fleuries fin novembre alors qu’elles ne devraient plus l’être. Idem pour la faune, qui dans certains cas, s’adapte à ces nouvelles conditions. Alors certes, ce n’est pas vraiment la bonne époque pour photographier « cette vie » le plus souvent minuscule mais le changement climatique, l’observation, la patience et la chance vont être ici les ingrédients indispensables à la réussite ou pas de mon futur reportage naturaliste. Une fois encore, j’en serais très satisfait car au-delà de ce que j’avais espéré. Au sommet de la « Coma d’en Ceret »,  le calme et le silence ambiant dans lequel nous marchons sont très fortement rompus par les cris d’un chasseur appelant deux de ses chiens ayant coursé un sanglier. Equipés de balises, il nous explique comment il les repaire grâce à un GPS qu’il tient dans ses mains. La chasse est finie et récupérer ses chiens reste sa priorité. Vignobles, garrigues, pinèdes, maquis ; plus des vergers ou des oliveraies quelquefois ; tous ces décors se succèdent sans que l’on se lasse de notre cheminement, pourtant pas toujours facile en terme de déclivités à gravir. Petites collines en forme de modestes « montagnes russes », la fin sera un « grand huit » qu’il nous faudra uniquement grimper.  Nous n’y sommes pas encore. Dany qui n’a pas trop le sens,  ni de l’orientation, ni des lieux déjà arpenter m’interrogent souvent : « c’est quoi là-bas ? » « C’est le Bugarach ? ». « Non, le Bugarach est là-bas émergeant des nuages » lui dis-je. Et il va en être ainsi avec plein d’autres lieux comme le Mont Coronat, la Tour del Far ou les châteaux de Quéribus ou de Peyrepertuse déjà cheminés jadis. Dans cette déambulation, chaque intersection est l’occasion de vérifier le tracé de mon GPS. C’est d’autant mieux de le faire qu’à la fin de la « Coma d’en Ceret », près de la côte 167 sur la carte IGN, Dany aperçoit un balisage jaune nous indiquant de quitter la route asphaltée et de partir à droite. Mon tracé GPS m’indiquant de continuer la route, je m’en tiens à ce dernier. Ce n’est que plus loin que l’on quitte la route, direction les lieux-dits « Terra Roja » ; la Terre Rouge, et le Miradou où quelques cabanons vivant chichement sont planqués dans un bois. Quelques petites serres et des jardins potagers illustrent cette vie retirée du monde. Peu après, un artiste « réutiliste » présente ses œuvres faites de bric et de broc. Peu après aussi, la mention « propriété privée » apparait. Mais alors comment faire alors qu’un seul chemin est là à se présenter ? Gardiens des lieux, deux chiens plus hargneux que vraiment méchants s’approchent de nos mollets mais sans jamais les ambitionner. Une dame sort d’un cabanon et les fait taire, nous saluant d’un aimable bonjour et démontrant que la propriété est fictive et n’a de privée que l’ambition de vivre ici le plus paisiblement possible.  Finalement, cela sera la seule difficulté, avec sur la fin, le violent raidillon déjà évoqué. A la côte 93, près du lieu-dit « Les Counilles » (Les Lapins), nous déjeunons sur un petit radier cimenté enjambant le torrent asséché de La Grava. Ici, quelques libellules visibles,  et sans doute en quête d’une eau invisible,  nous interrogent sur les possibilités que ce ruisseau aurait de devenir vraiment torrentiel ? Les terribles sécheresses des Pyrénées-Orientales mettent-elles le secteur à l’abri d’un futur « Aiguat » ? La réponse est clairement « non  » quand on sait qu’Estagel a subi d’innombrables inondations depuis ce record de précipitations de 1940. La dernière encore en 2020. Ici, on commence à longer la Coma Major où commence la vraie dénivellation puis ça sera les Comelles dels Barrencs qu’il faudra gravir puis descendre jusqu’à ce court et rude raidillon déjà cité se terminant au lieu-dit « Clots d’en Messeguer ». Entre les deux, les innombrables amoncellements de pierres sèches nous interrogent quant à leur utilité. Si certains vestiges sont évidents ; abris,  casots ou terrasses servant jadis à des cultures, d’autres laissent songeurs par leur taille et leurs formes. Ils me rappellent ceux du « Cimetière des Maures », lieu-dit il est vrai très peu éloigné à vol d’oiseau puisque de l’autre côté de l’Agly. En fin de compte,  les premiers panonceaux directionnels se présentent à la Coma Major mais ils ne proposent que d’autres parcours : Estagel (Entre vignes et garrigues), Calce (Dans les pas des bergers) et la chapelle Saint-Vincent (boucle Saint-Vincent). Nous faisons le choix de suivre ce dernier, déjà programmé dans mon GPS. Quant aux raidillons successifs, dont le dernier assez violent notamment, nous les montons le souffle un peu court mais par bonheur les jambes encore solides. La lecture des pupitres du Sentier botaniques des Feixes, présentant différentes plantes méditerranéennes, permet de calmer nos palpitations cardiaques. La fin par la chapelle Saint-Vincent étant programmée dans mon GPS, nous y passons sans trop nous y appesantir car de nombreuses personnes sont là pour une festivité. Un réunion associative sans doute. Les hommes jouent à la pétanque, les dames aux quilles et les enfants au ballon. D’autres personnes sont déjà attablées dans l’attente d’un repas qui n’a pas encore débuté. Il est pourtant presque 15h. Le temps de quelques gaufrettes englouties assis au pied d’un bel oratoire et nous rejoignons notre voiture, non sans une courte visite de la partie ancienne d’Estagel. Nous passons sous sa superbe tour de l’horloge, puis par quelques venelles de sa  « cellera »  et nous finissons par l’église Saint-Etienne et Saint-Vincent. Elle est si belle et la connaissant déjà, je ne peux m’empêcher de la proposer à Dany. Par chance, elle est encore ouverte comme la toute première fois où j’y étais venu. Je l’avais découverte lors d’une autre balade intitulée « Le Circuit des Coumes et sur les pas des bergers depuis Calce » et l’avais trouvée merveilleuse avec ses jolies chapelles et ses retables plus beaux les uns que les autres.  Cette jolie balade aux couleurs automnales et telle que décrite ici a été longue d’environ 11km (10,6km exactement selon mon tracé), petite visite d’Estagel incluse. Les montées cumulées sont de 461m. Le dénivelé est de 160m entre le point le plus bas à 76m au parking et le plus haut à 236m au pied du Serrat d’en Bouguadé. Vous pourrez éventuellement en réduire la distance en prenant le premier sentier quittant la « Coume Majou » après le lieu-dit « Les Conilles » ou « Counilles » selon les cartes IGN. Un panonceau est là vous indiquant Estagel à 1,4km.  Carte IGN 2448OT Thuir – Ille-sur-Têt top 25.

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Les Coteaux de Terrats depuis Terrats

Publié le par gibirando

Ce diaporama est agrémenté de 4 musiques du compositeur Michel Pépé, spécialiste musical du bien-être. Elles ont pour titre : "Myriades de lumière", "Axis Mundi", "Fleur de Lys" et "Magnificat".

Les Coteaux de Terrats depuis Terrats
Les Coteaux de Terrats depuis Terrats

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En ce dimanche 17 novembre 2024, il est 9h tapantes quand nous rangeons notre voiture dans un petit parking de la commune de Terrats. C’est la rue du Colombier. Un nom prédestiné puisqu’une de mes premières photos sera un Pigeon ramier perché sur une toiture. Notre objectif du jour est d’accomplir une randonnée toute simple intitulée « Les Coteaux de Terrats ». Sa simplicité se voit immédiatement quand on jette un coup d’œil sur le tracé de la carte IGN. Un boucle oblongue qui suit des chemins ruraux plutôt larges et sans aucune difficulté. Et pourtant ! Voilà déjà 10 bonnes minutes que nous tournons en rond et en voiture au sein du village à la recherche d’une signalétique indiquant la ligne officielle du départ, située à la cave vinicole Terrassous. En vain. La cave n’est pas indiquée dans le village ou alors nous sommes « miro » Dany et moi. C'est probable à nos âges ! C’est donc en désespoir de cause que nous démarrons de la rue du Colombier puis empruntons la « bonne » avenue du Canigou pour démarrer cette balade. Bonne, car cette avenue est bien celle qui est mentionnée sur le petit topo trouvé sur le Net que j’ai cru utile d’imprimer et de lire. Bonne car la Massif du Canigou est pile poil dans la ligne de mire de notre marche et le sera tout au long de cette partie « aller » du parcours. La sortie du village coïncide avec un passage devant l’entrée du cimetière et la campagne est aussitôt là. Elle se présente sous différents décors plus ou moins lointains mais dont les plus proches sont dans l’immédiat des vignobles et des champs en jachère. Les vignes sont bien présentes bien sûr, puisque sur le Net on peut clairement lire que ce tracé est labellisé « 1er sentier oenorando du département ». Rajoutons-y que 6 pupitres présentent les différents cépages cultivés ici et le vin devient l’élément central de cette boucle pédestre.  Il faudra attendre un peu pour découvrir aussi des boqueteaux, des pinèdes et des paysages de garrigue au sein de décors que les différents cours d’eau ont façonné au fil des temps. Si les petits « correcs » sont nombreux, ils constituent souvent les affluents de la principale rivière qui est la Canterrane (*). Si d’emblée, la piste empruntée est asphaltée, on arrive assez vite à oublier le bitume grâce à l’originalité de tous ces voisinages. Moi, j’y ajoute mes photos naturalistes, fleurs notamment, encore nombreuses malgré la saison et la sècheresse qui ne cesse de persister. Ici à Terrats, cette sécheresse est devenue une obsession pour les viticulteurs et les gestionnaires de la cave coopérative. Trouver des solutions pour que l’activité survive est devenue une priorité majeure. Même si pour un vrai connaisseur, mettre de l’eau dans un vin est un sacrilège, il n’est pas paradoxal d’affirmer que sans eau il n’y aura jamais plus de vin. Cette sécheresse, elle est parfaitement visible alors que l’on enjambe le passage à gué sur la Canterrane. Le lit de la rivière n’est plus que galets et terres glaiseuses conquises par une végétation foisonnante où les peupliers noirs sont des pionniers dominateurs. Par bonheur, tout  près du radier, subsiste une petite poche d’eau claire où quelques grenouilles vertes et des petits poissons s’empressent de se réfugier sous les pierres dès lors que je m’approche. Il me faudra faire preuve de patience et de dissimulation pour parvenir à photographier cette petite faune apeurée. Apeurée car sans doute réaliste d’une situation dramatique pour elle s’il ne pleut pas rapidement. De mon côté, mes feintes sont positives et ces quelques photos animalières viennent s’ajouter à de rares passereaux, criquets, papillons et libellules. Avant de quitter les lieux et ayant un peu emprunté le cours de la rivière, une Bergeronnette des ruisseaux et une écrevisse sortant de son lit de vase viendront compléter ce petit inventaire faunique. Pour mon plus grand plaisir,  tout ce joli petit monde viendra embellir le reportage de cette randonnée. L’asphalte a disparu sans trop que l’on s’en rende compte tant le parcours est agréable car aux décors, paysages et panoramas suffisamment diversifiés. Il est tôt, mais Dany décrète une pause déjeuner. Assis sur l’herbe, et tout en mangeant mon sandwich, je m’amuse à photographier quelques plantes qui m’entourent mais me sont inconnues. Je me dis qu’en rentrant, j’aurais au moins quelques surprises en confrontant ces plantes sauvages aux applications de reconnaissance, du style PlantNet, Flora Incognita, Seek et Lens. Après la Canterrane et son proche parcours que l’on aperçoit sur la droite sous les traits de hautes falaises ocres ; haut-lieu de nidification des Guêpiers d’Europe à la bonne saison ; ce sont d’énormes chênes lièges qui deviennent les clous du spectacle. Centenaires, multi-centenaires, avec leurs ramures tentaculaires,  ils sont plusieurs à faire un agréable ombrage à une courte portion du chemin. L’arrivée près d’un panonceau mentionnant « Chemin Royal, 0,3km » coïncide avec une violente piqûre derrière le cou mais sans que je sache qui en est le responsable. Frelon ?  Guêpe ? Taon ? Abeille ? Je ne sais pas !  Mais la douleur sera persistante pendant plusieurs heures avec un gonflement, des démangeaisons et une impression de chaleur à l’endroit boursouflé. Le chemin "royal" en question qu'il faut probablement rapprocher de Thuir, ancienne cité royale sous les rois d'Aragon se termine sur une route asphaltée où commence le retour vers Terrats. Un panonceau directionnel annonce la couleur avec 3,6km restant à parcourir. On laisse derrière nous le lointain Massif du Canigou et cette proche colline débonnaire mais au « toponyme historique » déjà gravie en mai 2016 intitulée « le Mont Helena (776m) ». Outre une Nature encore bien présente, plusieurs casots, le domaine agrivoltaïque Solaspres et le Mas d’En Planès viendront divertir ce retour vers Terrats. Il y a bien un nouveau gué sur la Canterrane, mais cette fois-ci la rivière est aussi sèche qu’un fouet catalan. La visite de la partie ancienne de Terrats avec notamment son église malheureusement fermée clôt cette balade pédestre (Elle est néanmoins visible ainsi que le village sur le site "Visitez le pays catalan/Terrats" . Un petit tour vers la cave vinicole Terrassous, histoire de découvrir l’étonnante «  Tour Bouteillé », mais en voiture cette fois-ci, et cette superbe journée ensoleillée se termine. Considérée comme facile, cette boucle est donnée sur le Net  pour 7,9km et un dénivelé modeste de 135m. Cartes IGN 2448OT Thuir – Ille-sur-Têt et 2449OT Céret – Amélie-les-Bains-Palalda – Vallée du Tech Top 25.

(*) La Canterrane : La Canterrane prend sa source à Calmeilles, dans le massif des Aspres. Elle est un affluent, par la rive gauche, du Réart dans lequel elle se jette près de Pollestres. Sa longueur est de 28km. Plus intéressante est sa toponymie puisque son nom signifie clairement "Chante-grenouille", de "cante" (canta) pour "chante" et de "rana", nom latin définissant une "grenouille". Si nous l'avons trouvée très asséchée, ses crues, certes exceptionnelles, s'annoncent parfois très redoutables : 5m en septembre 1992 et 2,62m en novembre 2014 pour les plus récentes. Elle est bien connu des orpailleurs mais aussi des Guêpiers d'Europe qui viennent à la bonne saison construire leur nid dans les falaises d'argile. 

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La Boucle des Murs tordus au départ de Peyrestortes.

Publié le par gibirando

Ce diaporama est agrémenté de 5 chansons de The Beatles et 1 de John Lennon. Pour des motifs de droits d'auteurs, elles sont interprétées par l'excellent groupe néerlandais The Analogues et ont pour titre : "Got To Get You Into My Life", "Let It Be", "Here Comes The Sun", "Imagine", "She'Leaving Home", "A Day In The Life" et "Because".

La Boucle des Murs tordus au départ de Peyrestortes.
La Boucle des Murs tordus au départ de Peyrestortes.

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Quand vous entamerez la lecture de ce reportage sans doute vous poserez-vous des questions à propos du titre que j’ai donné à cette randonnée : « La Boucle des Murs tordus au départ de Peyrestortes ». Vous vous les poserez d’autant mieux si « la toponymie » est pour vous une belle inconnue. Il est fort probable que ces questions s’amplifieront si l’envie d’accomplir cette boucle vous a pris avant même de lire ce récit. Alors je pense qu’il est préférable de couper court à toutes les supputations et d’expliquer pourquoi ce titre. Finalement, je pourrais presque dire qu’il s’agit de vieilles péripéties liées à l’Histoire de Peyrestortes et à l’origine de son nom. Péripéties car liées à l’évolution des langues et très vieilles car datant des Romains et donc anciennes de plus de 2000 ans. A Peyrestortes, cet aspect « romain » a d’ailleurs été confirmé puisque des fragments de poteries ont été trouvés au lieu-dit « Les Sedes » dont de nombreux ornés de graffitis antiques, ce qui leur confèrent un intérêt encore plus grand.  Ces poteries dateraient du 1er siècle, c’est-à-dire d’une période où la Gaule est occupée par les Romains et où les empereurs se nomment Tibère, Caligula, Claude ou Néron. Et pour étayer ce préambule, voici ce que nous dit le site Internet de France Bleu à propos de cette toponymie : « Au Xe siècle, en 925 exactement, le nom de « Paredstortes » apparaît pour la première fois dans un texte. Il vient du latin « paries », « le mur », et « tortu » qui veut dire « tordu, boiteux ». « Paretstortes » en catalan. Les voilà les murs tordus. Ensuite, ce toponyme a été déformé d’abord sous l’influence d’un mot proche : « pera » qui signifie « pierre », en vieux catalan (remarquez qu’on reste dans le même ordre d’idée puisqu’il faut bien des pierres pour construire un mur) puis de l’occitan « peyra » qui veut dire la même chose et qu’on retrouve sous la forme francisée « peyre » dans Peyrehorade ou Peyrelevade ou encore Peyrefitte-du-Razès … Je pourrais citer ainsi 3 à 4 dizaines de communes ou hameaux commençant par « peyr.. ». A présent vous savez d’où vient le « Y »…. de Peyrestortes, et vous avez l’explication totale de mon titre. Une deuxième question peut survenir en suivant, c’est celle de se demander où sont passés ces « fameux » murs tordus ? Pour l’essentiel, ils ont disparu pour diverses raisons liées à leur ancienneté : obsolescence, dépréciation, destructions, intérêts pour des matériaux plus modernes, conflits divers et variés, etc….. D’ailleurs, si l’histoire régionale a pour vous un minimum d’intérêts, vous savez certainement qu’une illustre bataille a eu lieu ici même le 17 septembre 1793 entre les troupes françaises et espagnoles engendrant 800 morts (Source Wikipédia). Alors certes, vous trouverez des « murs tordus » de-ci delà au cours de ce parcours, et notamment d’assez nombreux liés à l’épierrement de nombreuses parcelles mais rien ne dit que ces derniers aient contribué à la toponymie et à son évolution au fil du temps. Finalement, c’est parce que j’aime l’Histoire et la toponymie que j’ai bien aimé ce titre même s’il n’est pas vraiment en corrélation avec la réalité constante du terrain. Mais autant l’avouer, là n’était pas l’objectif majeur de cette randonnée, car comme toujours désormais c’était surtout la Nature que je voulais approcher. Oui, partir marcher pour découvrir et pour mon bien-être, là étaient mes desseins. En ce 23 septembre 2024, il est 9h quand je range ma voiture au centre de Peyrestortes et plus précisément sur le parking de la résidence Les Avens. Auparavant, j’ai pris soin de ne pas occuper un emplacement réservé à un occupant des immeubles. Je démarre en me dirigeant vers un parc arboré parallèle et à droite de  la route principale D.614. Peu après, direction le chemin de Cornet. J’enjambe le ruisseau des Avencs et me voilà aussitôt dans la campagne. Ici pas de murs tordus mais de hautes clôtures grillagées comme remparts autour de vastes vergers. Je me dirige vers le lieu-dit « Les Sedes » avec l’espoir d’y découvrir un quelconque hommage aux graffitis romains qui ont été découverts dans ce secteur mais je ne trouve rien qui les évoque et je fais vite demi-tour. GPS allumé avec tracé enregistré, je continue ma marche solitaire avec ce désir constant d’être aux aguets de tout ce que la Nature peut offrir à mon appareil-photo. Dans l’immédiat, ça se résume à pas mal de fleurs, à de rares papillons et criquets et à quelques oiseaux dont la sédentarité auprès des hommes est une belle évidence. Ces volatiles ont pour nom « moineaux », « pies », « étourneaux », « tourterelles », « hirondelles » et « pigeons ». Il me faudra attendre un peu plus longtemps pour immortaliser mon premier vrai volatile vraiment sauvage. Dans l’immédiat, je ne me sens pas seul sur ce chemin asphalté. Des vendangeurs sont à pied d’œuvre dans certains vignobles. Je croise aussi quelques randonneurs qui eux reviennent déjà de leur balade matinale mais plus j’avance et plus la solitude va s’installer puis devenir totale.  Si les premières foulées sur le bitume sont assez astreignantes, les grands espaces qui se présentent devant moi me font vite oublier ce macadam pas toujours idéal quant on randonne. Finalement au lieu-dit « El Cornet » sur la carte IGN, le goudron disparaît totalement. Dans ces décors plutôt planes, Espira-de-l’Agly devient visible sur ma droite grâce au clocher crénelé de son église romane Sainte-Marie et à celui carrément pointu de Notre-Dame des Anges. Droit devant moi, les modestes collines dominant Baixas avec son point culminant le Roc Redoun forment l’horizon. C’est vers là-bas que je vais mais je ferais demi-tour bien avant. Dans l’immédiat, je continue mon recensement floral et mes prélèvements photographiques d’une petite faune bien présente. Après avoir traversé la route D.18, je m’élève sur une butte dont le nom « Els Forns », « Les Fours », ne manquent pas de m’interroger. Ont-ils un rapport avec les poteries romaines trouvées au lieu-dit « Les Sedes » ? Rien de tout ce que j’ai lu à leur sujet ne l’ indique.  Outre les petites mines à ciel ouvert, transformées de nos jours en pistes de gymkhana, j’y découvre d’étranges billots d’un arbre qui devait sans doute être multi-centenaire. Etranges billots au regard de leur taille et de leur circonférence et qui donnent une belle idée de cet arbre qui devait être remarquable car  énorme et donc très vieux. C’était quoi cet arbre ? Que faisait-il là ? Pourquoi a-t-il été tronçonné ? Pour être brûlé dans des fours aujourd’hui disparus ? Autant de questions dont je n’aurais jamais la réponse sans doute.  De nos jours, les billots les plus creux servent de tanières à une quantité impressionnante de Tarentes de Maurétanie. Autre surprise dans ce décor de garrigues, j’y découvre sur la crête, un SDF qui vit là dans une voiture avec comme seuls équipements, quelques panneaux photovoltaïques posés à terre alimentant ce qui ressemblent à un frigo et à une guirlande électrique. A quelques mètres du chemin seulement, il ne semble pas surpris de me voir passer alors qu’il semble afférer à allumer un réchaud. Je le salue et il me salue comme si nous étions place de la Loge à Perpignan. Je me dis qu’il est courageux de vivre là, d’abord dans ce coin dénué de tout, car beaucoup perdu il faut bien le dire, mais aussi car quelques mètres plus loin, un incendie a récemment dévasté une petite partie de la végétation. Incendie vite maîtrisé apparemment d’où émerge un petit menhir. Ancienne borne des temps jadis ? Une « pedra dreta » en catalan, ou « pierre droite », multiséculaire de surcroît, qui selon Gérard Bile, ancien maire d’Espira-de-l’Agly et historien local à ses heures était censée délimiter des pâturages au Moyen-Âge. Il y aurait plusieurs monolithes de ce type dans ce secteur. Ici, les premiers amoncellements de pierres sèches apparaissent. Ils forment le plus souvent des murets formant eux-mêmes ce qui ressemblent à des parcelles. Les fameuses « peyres » « stortes » ? Pierres ou murs tordus ? Je m’y arrête au plus haut de la crête pour entamer mon sandwich avec vue sur le vallon en contrebas et les carrières situées en face. Ici, dans tout ce secteur entre Baixas et Cases-de-Pène, les carrières en activité ou pas sont nombreuses. Par bonheur, des vignobles y trouvent aussi leur place.  En redémarrant, je descends immédiatement vers l’une d’entre-elles, abandonnée mais dont les cicatrices dans le calcaire ne laissent planer aucun doute. Puis je traverse la route D.18a et là une méchante grimpette au-dessus du lieu-dit « Oratori de Perdigós » m’amène vers une autre carrière plus vaste. Si le vallon est bien occupé par les vignobles, ici tout est maquis de chênes kermès sauf les parties éventrées par les mines à ciel ouvert. Une fois, la partie la plus haute atteinte, le chemin n’est plus que descente.  Ici, le balisage jaune apparaît et nous amène vers Baixas par le « Cami de Peña » où les grands espaces bien plats refont surface dès les retrouvailles avec la D.18a. Chaque biotope ayant sa flore et sa petite faune qui lui sont propres, je ne m’ennuie jamais « photographiquement » parlant. Pourquoi des libellules à cet endroit et pas ailleurs ? Pourquoi les hirondelles se reposent-elles sur ce câble-là et pas sur tels autres ? De telles interrogations, je pourrais m’en poser des dizaines mais les photos restent et les questions s’évaporent.   A Baixas, je quitte le quartier « La Part des Anges » d’abord par la route D.18 puis par un chemin rural mal bitumé traversant le vignoble direction les lieux-dits « El Ginestar » et « Les Arenes », parcours déjà emprunté lors d'un autre circuit que j'avais intitulé « le Chemin des Amandiers sauvages ». Chemin le plus court pour refermer cette boucle, j’atteins la Voie Verte et de nouveau la D.18a. Si Peyrestortes n’est plus très loin, je fais en sorte d’éviter l’asphalte au maximum. Pour cela, et juste après la pile d’un pont, j’emprunte à droite un sentier montant dans le maquis dans le but de rejoindre le lieu-dit « Costa Rossa ». Le bon sentier est là,  se faufilant et longeant le lotissement éponyme.  Plus proche de la Nature, c’est ainsi que je finis cette randonnée de ma composition. Ceux qui ne marchent que pour le plaisir de la marche voire pour l’aspect sportif y trouveront une « bonne »  distance et deux déclivités peu difficiles mais différemment escarpés. Bonnes chaussures de marche sont toutefois conseillées car la rocaille est bien présente. Comme expliquée ici, cette balade a été longue de 11,4km incluant quelques « sorties de route » inévitables pour moi dans ma quête photographique. Les montées cumulées s’élèvent à 201m. Le dénivelé modeste est de 129m entre le point le plus bas à 37m sur la ligne de départ à Peyrestortes et le plus haut à 166m au-dessus du lieu-dit « Oratori de Perdigós ». Carte IGN 2548OT Perpignan – Plages du Roussillon top 25.

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Le Rêve de Sylvain et la Tirounère depuis Prugnanes

Publié le par gibirando

Ce diaporama est agrémenté de 5 musiques interprétées par les guitaristes de jazz Sylvain Luc et Biréli Lagrène extraites de leur album "Duet". Elles ont pour titre "Syracuse", "La Balade Irlandaise" "Time After Time", "Isn't She Lovely" et "Stompin' At The Savoy". Le 17 avril 2012, ayant eu l'occasion d'être présent lors d'un concert donné par ces 2 immenses guitaristes au Théâtre de l'Archipel de Perpignan, au travers de ces musiques, j'ai voulu rendre hommage à Sylvain Luc décédé bien trop jeune  le 13 mars 2024. Il allait avoir 59 ans. 

Le Rêve de Sylvain et la Tirounère depuis Prugnanes
Le Rêve de Sylvain et la Tirounère depuis Prugnanes

Voilà déjà longtemps que je voulais réaliser ce « Rêve de Sylvain », une randonnée bien connue en pays Fenouillèdes et plus spécialement dans les Corbières dites catalanes.  Dire que j’en rêvais ou qu’un rêve allait se réaliser en l’accomplissant seraient sans doute exagéré. Mais à diverses reprises ; Tour du pays Fenouillèdes en 2011 et Le Sentier du Charbonnier plus récemment en 2023,  j’avais côtoyé des panonceaux directionnels mentionnant cette balade pédestre au départ de Prugnanes. Je l’avais donc inscrite sur mes tablettes depuis déjà longtemps. En ce 19 août 2024, Dany étant partie 3 jours en Espagne avec Valentine, notre petite-fille, l’occasion est trop belle pour ne pas tenter de l’accomplir. En effet, sachant que Dany n’aime guère marcher dans des paysages de garrigues, y aller seul me parait une bonne idée. En pleine période estivale, avec une météo caniculaire et une grande sécheresse, moi-même, je me demande ce que je vais réellement trouvé de bien à voir ou à faire sur ce sentier ? J’appréhende sinon le pire au moins l’ennui.  Aussi, en analysant la carte IGN, l’idée ci-après m’est soudain venue : « pourquoi ne pas rallonger le Rêve de Sylvain en allant jusqu’à la Tirounère pour me baigner ? ». Je rappelle que le lieu-dit La Tirounère est la terminaison aval des Gorges de Galamus et donc un secteur rafraichissant à souhaits où la baignade est possible. Là, aussi j’ai déjà eu l’occasion de vous présenter ce superbe endroit dans mon blog : « Le Circuit de La Tirounère depuis Saint-Paul-de-Fenouillet ».  C’est ainsi qu’est née cette balade que je vous présente ici : « Le Rêve de Sylvain et la Tirounère depuis Prugnanes ».   Il n’est pas encore 9h30 quand je laisse ma voiture à l’entrée de Prugnanes. Si le village est désert et sans grand intérêt de prime abord, je note plusieurs croix occitanes accrochés aux maisons. Ici, la Catalogne est déjà très loin et on revendique son occitanité. Je traverse le village en suivant les recommandations du topo-guide que j’ai lu mais que je sors de ma poche et relis : rue de la Fontaine, rue de Bugarach puis celle de Palmières. A une intersection, un panonceau directionnel est là m’indiquant la suite qui part à droite. Très vite, la route bitumée partant vers l’ouest se transforme en un large chemin terreux puis en une piste forestière grisâtre, du style mâchefer. Les dernières maisons du village ont vite disparu et sur ma gauche s’étire une longue colline calcaire imparfaitement végétalisée. Ici le chêne vert est roi mais ses serfs sont légion car on y trouve toutes les plantes habituelles propres à la garrigue méditerranéenne. J’y cherche des fleurs, et si le chemin m’en offre 2 ou 3 encore quelque peu fleuries, celles de la garrigue sont déjà bien fanées. Leurs couleurs paille ou carrément roussâtres en sont les signes formels. D’autres comme certains chardons, les Stéhélines, les Leuzées et les Inules présentent des touffes de poils soyeux que l’on appelle « pappus ».  Sur la carte IGN, cette « serre » bosselée que je longe pour l’instant a pour nom « Capeils », toponyme où la notion de hauteur paraît évidente.  Je connais bien le parcours que j’ai longuement analyser sur la carte IGN et je sais qu’il va me falloir très rapidement grimper cette colline. Comme toujours, j’essaie d’oublier la monotonie de cette large piste en m’intéressant à la Nature présente et visible. Après des moineaux, des étourneaux, un merle et une fauvette très occupés à déguster de merveilleuses figues ; j’en ai fait une belle « ventrée » moi aussi ; c’est au tour de quelques papillons d’avoir les faveurs de mon appareil-photo. Ils sont très présents mais ont constamment la bougeotte à cause d’une « bonne » et par bonheur fraîche tramontane.  Il me faut donc faire preuve de patience et de ténacité pour en immortaliser quelques-uns. Idem pour les cigales qui vont me « casser les oreilles » une belle partie de la journée mais toujours excessivement difficiles à photographier car avec lesquelles l’effet de surprise ne joue que très rarement.  Idem pour les criquets qui eux aussi seront également bien présents à toutes les altitudes et en plus grand nombre encore au Pla de Moulis et plus globalement en altitude. Ce Pla de Moulis ou plateau du Moulin (Moulis de l’occitan « molin », en français « moulin ») que je vais finir par atteindre après une sérieuse mais régulière montée,  parlons-en !   Selon la fameuse légende de cette randonnée où il est dit "qu'à la première lune d'été, les fées de la Fou viennent danser toute la nuit sur le Pla de Moulis, au pied du roc del Nissol", je me demandais si je verrais ces « fameuses » fées de la Fou ? "Quitteraient-elles leur danse nocturne pour venir se baigner avec moi à la Tirounère ?" En effet, le topo-guide de cette balade, que l’on trouve sur le Net, ne précise rien d’autre que cette courte légende. « Qui est Sylvain ? » « A quoi rêve-t-il exactement ? » « Qui est à l’origine de cette légende féerique ? » Je n’ai trouvé aucune réponse à ces 3 principales questions. Dommage ! Seuls les lieux sont connus avec le Pla de Moulis, le Roc del Nissol et la Fou que l'on peut raisonnablement penser être la Clue de la Fou, cluse de l'Agly non loin de St-Paul-de-Fenouillet. Pourtant celui qui a inventé cette balade doit savoir tout cela !  Par contre, si je vous dis que pendant la montée vers le Pla de Moulis, j’ai vu plein de ces fées toutes blanches qui volaient autour de moi, vous allez vous dire « ce type a un pet au casque ! », formule bien adaptée ici puisqu’elle est occitane ! Non, je vous rassure, je ne fume aucune plante, même si comme vous le savez j’adore la botanique ! Eh bien oui, je confirme, elles étaient là, délicates, immaculées, légères, soyeuses, virevoltantes, et ce d’autant qu’une « puissante » tramontane les soulever du sol pour les propager en permanence dans les cieux. Elles avaient simplement pris les traits de ces fameux « pappus » que j’ai déjà évoqué. On les appelle aussi « aigrettes » ou « akènes plumeux ». La plupart des fées étaient là, au sommet d’une Leuzée conifère ou d’une grosse touffe de Stéhélines douteuses, à attendre sagement de violentes rafales qui les détacheraient peu à peu de ce carcan végétal que l’on appelle « pédoncule ». Je me suis assis plusieurs fois pour les regarder s’envoler très haut dans le ciel ; les aidant un peu parfois ; et sans doute profitaient-elles comme moi de ces merveilleux panoramas sur la Vallée de la Boulzane et le Synclinal du Fenouillèdes, même si un ciel laiteux délavait l’horizon? Leur espérance  ? Tomber au bon endroit, germer et procréer une nouvelle fée, une nouvelle fleur, un nouveau bouquet pour que la Nature continue d’être belle.  Il suffit d’y croire et si je continue à être un cartésien dans l’âme, depuis la « Dame blanche d’Urbanya », j’ai moins de certitude à leur sujet et suis plus discursif. Si au Pla de Moulis, les fées continuent à tourbillonner, quelques papillons, de nombreux criquets d’espèces très diverses et donc de toutes tailles, deux fauvettes « taquines » et une ombellifère m’occupent bien trop longuement pour que je m’intéresse à elles au premier chef. En quittant le Pla, je me mets à presser le pas car il est déjà 13h passé et je n’ai toujours pas déjeuné. Dans la descente vers le col du Lenti,  pour mon estomac, manger devient une obsession. Notre but commun ? Arriver à la Tirounère pour d’abord déjeuner au plus vite puis juste après me baigner. Désormais, je connais bien l’endroit et je sais que là-bas la Nature va me réserver de bien belles surprises. Ça va être le cas au-delà de ce que j’ai longuement espéré. Après la moitié d’un gros sandwich au thon appréciablement englouti au bord même de la rivière, je n’hésite pas à me baigner. Après ce premier bain, une part de tarte aux pommes finit de satisfaire mon estomac. A mes pieds, de vairons et d'autres petits alevins sont là à attendre que je leur jette quelques miettes de mon sandwich. Bouts de pain ou de thon, ces reliefs-là leur conviennent. Si d’autres baignades se succèdent, les mi-temps sont toujours consacrées à une quête photographique plus approfondie de la Nature. L’eau de l’Agly est certes fraîche, mais comme je l’aime en été. Froide mais limpide où les incalculables couleurs vertes se bataillent une suprématie à laisser Claude Monet pantois. Il manque juste les nymphéas largement remplacés par les plants de menthe aquatique et les Cirses de Montpellier qui envahissent les parties les moins profondes du lit de la rivière. Leurs fleurs attirent d’innombrables papillons pas toujours faciles à photographiés car plutôt petits et au milieu du ruisseau. Il y a aussi des libellules en grand nombre également très difficiles à immortaliser, car très souvent minuscules comme les agrions. De véritables fées elles aussi, ne tenant pas en place. Après un peu de repos, une autre petite balade m’entraîne vers le lieu-dit Borde Massé. Un champ en jachères m’offre quelques fleurs inédites. Une dernière baignade complète ce bel après-midi. Pour mon plus grand bonheur de nouveaux papillons, des passereaux aimant eux aussi la rivière, des lézards et une couleuvre vipérine sont venus s’enregistrer dans la mémoire de mon appareil-photo.  Puis le temps du retour arrive et il me faut quitter ce lieu si préversé. Autant l’avouer, ce retour est la partie la plus monotone de la journée. Il est vrai qu’après la Nature exceptionnelle et les baignades rafraîchissantes de la Tirounère, je ne peux guère espéré mieux. Je reprends donc en sens inverse le chemin  menant au col du Lenti. Là, après un sentier pas désagréable car peu caillouteux, ce dernier débouche sur une large piste forestière. Ici commence la vraie monotonie même si je reste aux aguets de tout ce qui bouge. D’abord parce que cette piste est large et terreuse, presque rectiligne jusqu’à Prugnanes mais désagréablement bosselée. De surcroît, la tramontane a faibli, il fait très chaud et les parties ombragées sont rares. Au lieu-dit « Borde Alibert » quelques chants d’oiseaux plus puissants m’incitent à emprunter vers la gauche un sentier s’enfonçant dans les bois. J’immortalise un bruant et il y a bien d’autres oiseaux mais ma lassitude est plus forte et surtout ce sentier ne mène nulkle part.  Malgré mon insistance à vouloir photographier la Nature de cette piste, l’arrivée à Prugnanes est une petite délivrance.  Petite, car avant d’en finir totalement, j’ai envie de visiter le village et voir quel est son patrimoine. Autant le dire, il est très réduit avec une petite église toute simple, fermée car en cours de travaux extérieurs ce jour-là. Il y a aussi une jolie fontaine, simple aussi, car faite d’une plaque de marbre gris datée de 1864. Elle est dressée dans ce qui ressemble peut-être à un ancien lavoir joliment modernisé. Un énorme platane dont on ne sait s’il s’agit d’un Arbre de la Liberté lui apporte un bel ombrage. Le tout est situé au centre d’une agréable placette où des bancs très originaux car modernes ont été agencés. A part ça, il y a quelques jolies peintures en trompe-l’œil. Quant aux maisons, elles sont sûrement très vieilles pour la plupart, puisque  la porte d’une d’entre-elles est surmontée d’un fronton daté de 1768 !  Enfin, il y a au bord de la route D.20, un très vieux petit pont en arche, très bien restauré et de style de ceux que l’on connaît du côté de Sournia ou de Puyvalador (la Polideta et les Molines), improprement appelés « romains ». On y trouve aussi un petit étang artificiel, résultat plutôt réussi d’une station d’épuration plantés de roseaux. Les deux ouvrages sont  situés sur un ruisseau dénommé « Ravin de Las Illes » que j’ai découvert avant de démarrer cette journée. Ainsi se termine cette journée sinon « féérique » tout du moins très agréable. Si le cartésien que je suis ne croît pas en l’existence possible des fées, mes rêves, qu’ils soient éveillés ou pas, viennent réparer ce raisonnement, et ça suffit à mon bonheur. Telle qu’expliquée ici, cette balade a été longue de 11,6km. Les montées cumulées de 743m. Le point le plus haut est à 690m au-dessus du Pla de Moulis, le plus bas à 276m à la Tirounère. Cartes IGN 2447OT Tuchan  - Massif des Corbières et 2348ET Prades – Saint-Paul-de-Fenouillet Top 25.

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La Boucle des Etangs des Esquits depuis Les Bouillouses

Publié le par gibirando

Ce diaporama est agrémenté de diverses musiques de jazz interprétées par le groupe Paul Moretti Trio composé de Paul Moretti (piano), John Hébert (basse) et Rudy Royston (batterie). Elles ont pour titre "Cheek To Cheek", "You Go To My Head", "Someone to Watch Over Me", "Dear Johanna", "Roses" et "A Cookie For Marie (incompléte)". 

La Boucle des Etangs des Esquits depuis Les Bouillouses
La Boucle des Etangs des Esquits depuis Les Bouillouses

Pour agrandir les photos, cliquez dessus.

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Samedi 27 juillet 2024, 9h30. Nous voilà tous les quatre au Pla de Barrès à attendre la navette pour Les Bouillouses. Il y a ma sœur Nicole, mon neveu Sylvain, Dany et moi. Ma sœur et mon neveu sont venus nous rendre visite depuis Marseille et comme ils adorent les randonnées, aujourd’hui j’ai donc programmé une « Boucle autour des étangs des Esquits ». Une randonnée plutôt facile. Les Esquits sont des petits lacs de montagne situés au sud du barrage des Bouillouses au sein d’une forêt dénommée « Bosc de Llivia ». Si on ne tient pas compte de ceux qui sont des tourbières à sphaignes très souvent confrontés à une plus ou moins sévère eutrophisation (La Bolloseta, Estany del Raco et zone humide de la rivière d’Angoustrine »,  les vrais lacs sont au nombre de 3 : Estany Llarg (Etang Long), Estany Negre (Etang Noir) et Estany de la Pradella (Pradeilles). Pour les 2 premiers, il est utile de préciser qu’il s’agit des étangs « d’En Bas » puisque l’on retrouve des noms identiques dans les étangs dits « du Carlit » situés plus au nord. Au départ du hameau des Bouillouses où se situe le refuge, on suit la D.60 sur quelques centaines mètres (500 à 600m) (*), puis on traverse la Têt (ici c’est le ruisseau du déversoir du barrage) sur un pont de bois puis la randonnée prévue enchaîne les 3 lacs en contournant les deux premiers sur leur droite et le dernier sur sa gauche. Le long des 2 premiers lacs, les sentiers sont parfois assez scabreux car rocheux par endroits. La dernière partie qui consiste à revenir vers le barrage de manière assez rectiligne sur une large piste est la plus monotone. Comme tout P.R, l’itinéraire est balisé d’une couleur jaune mais il faut marcher assez longtemps pour découvrir le premier panonceau : Estany Llarg-Etang Long. Le lac est là ! Il est donc préférable ; si cela peut éviter des déboires ; de partir avec un GPS avec le tracé déjà enregistré. C’est ce que j’avais fait, même si son utilisation a été très éphémère.  Il est vrai qu’entre suivre le balisage, montrer le parcours et vouloir photographier la Nature est un challenge pas facile à surmonter. Pour les fleurs va encore, même si une mise au point est toujours préférable et donc à privilégier, mais pour la faune ça prend automatiquement toujours plus de temps. C’est d’autant plus vrai que la faune se résume ici à des canards colverts plutôt dociles mais pour le reste ce sont des batraciens « bondisseurs », des papillons virevoltants, des odonates qui ne le sont pas moins, de rares oiseaux difficiles à surprendre et donc à immortaliser. C’est donc très compliqué de faire une randonnée en famille sans être frustré à l’arrivée, parce que l’on est passé à côté de cette Nature, qui est là, à portée du regard, mais qui est d’abord aussi pour moi une passion. Il est donc indispensable de trouver un juste équilibre. De ce fait, il est donc important de marquer plusieurs arrêts et pauses. Ces arrêts  permettent de profiter plus agréablement de ces superbes paysages et décors, avec notamment quelques très belles vues plongeantes sur les lacs, quelques points de vue plus bas mais aussi très beaux, et pour moi de satisfaire au mieux ma passion pour la photo naturaliste. Malgré les difficultés, j'ai été globalement satisfait de toutes mes photos de nature. Au loin, le Carlit, terriblement minéral, dresse ses 2.921m et me rappelle que je ne suis jamais monté plus haut. L'arrivée se termine par un passage sur le barrage, souvenir de plusieurs randonnées d'un jour mais surtout d'un Tour du Capcir mémorable réalisé en 4j avec mon fils et deux de ses amis si sympas en 2013.  Enfin, je garderais un excellent souvenir de cette jolie balade, qui a apparemment plu à tout le monde. La finir de surcroit avec un peu de repos et une boisson bien fraiche à l’auberge du Carlit, dans l’attente de la navette du retour, a été une agréable touche finale.  Je n’ai pris aucune mesure mais cette randonnée est proposée sur le site « DECATHLON OUTDOOR » avec une distance de 6,2km, un dénivelé de 178m pour un temps de 2h15. Arrêts inclus, nous avons mis 2h de plus, c’est dire si nous avons pris le temps, mais c’est très bien car ce lieu à la jonction de la Haute-Cerdagne et du Capcir le mérite. Carte IGN 2249ET Font-Romeu - Capcir top 25. 

(*) Attention une autre possibilité est de démarrer derrière le refuge du Club Alpin Français où un panonceau mentionne le vrai départ et le chemin à suivre. La suite reste identique. 

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Randonnées dans les Pyrénées-Orientales

Publié le par gibirando

DEPART.    RANDONNEES DANS LES PYRENEES-ORIENTALES (pour visionner l'article, cliquez sur la randonnée choisie) ♫ = ( vidéos musicales) . A ce jour, 294 randonnées ont été réalisées. 

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66     A la rencontre des cervidés (1.585m) depuis Railleu (1.347 m) et Sansa ♫

66     A Travers les âges et le parcours d'eau à partir de Bélesta de la Frontière. ♫

66     Autour de la Réserve Naturelle du Mas Larrieu à Argelès-Plage ♫

66     Autour du Grand Rocher de Caramany ♫

66     Autour et Tour de Trémoine (272 m) depuis Rasiguères ♫

66     Aux Portes de Boucheville (838 m) depuis Vira (604 m) ♫

66     Du Col de Jau (1.506m) au Col de Tour (1.551m) par le Refuge de Callau. ♫

66     Du Moulin de Vingrau aux Gorges de Gouleyrous ♫

66     La Baraque du Faig (1.589 m) depuis Leca (901 m). ♫

66     La Batterie (887 m) et la chapelle Santa Engracia depuis Arles-sur-Tech ♫

66     La Boucle "Au fil du Còrrec de La Corregada" depuis Saint-Estève. ♫

66     La Boucle "Autour de Montalba-le-Château". ♫

66     La Boucle autour de Sarrat (Al Sarat) à Urbanya 

66     La Boucle de Marcevol au départ du lac de Vinça. ♫

66     La Boucle des étangs des Esquits depuis les Bouillouses ♫

66     La Boucle des étangs du Carlit depuis les Bouillouses ♫

66     La Boucle des murs tordus au départ de Peyrestortes ♫

66     La Boucle du Cau de la Guilla (col de la Guille) depuis Notre-Dame du Coral ♫

66     La Boucle du Col de Marsac (1.056 m) depuis Urbanya (856m).♫

66     La Boucle du Roc de Jornac et du Clot del Baro depuis Urbanya ♫

66     La Boucle « Et au milieu coule la Têt - Ille-sur-Têt, Rodès, Casesnoves »  ♫

66     La Boucle "Il était une fois d'Urbanya à Nohèdes" ou Le Circuit des Maisons saison 3 ♫

66     La Boucle "Minutes Papillons" d'Urbanya à Nohèdes ou Le Circuit des Maisons saison 2 ♫

66     La Boucle Pédestre de l'étang du Ticou depuis Pyrénées 2000. ♫

66     La Cabane de la Devèse de Vallbonne (1.697 m) depuis Léca (907 m) (Corsavy) ♫

66     La Carrière de marbre rouge du Coronat (1.755 m) depuis Jujols (960 m). ♫

66     La Carrière de talc de Caillau (1.645 m) depuis le col de Jau (1.506 m) ♫

66     La Chapelle ruinée de Séquières depuis Tarerach ♫

66     La Chapelle Saint-André et la carrière de marbre de Belloc depuis Conat. ♫

66     La Chapelle Sainte Anne (1.347 m) depuis Baillestavy (620 m) ♫

66     La Chapelle Sainte Anne (1.347 m) en circuit à partir de Glorianes. ♫

66     La Chapelle Sainte Marguerite de Nabilles depuis Conat. ♫

66     La Chapelle Sainte Marie de Bell-LLoc (1.685 m) depuis Dorres (1.446 m) ♫

66     La Chapelle Saint-Guillem (1.270m) depuis le hameau de La Llau (892m). ♫

66     La Chapelle Saint-Guillem par la Fontaine du Brigadier (1.257 m) ♫

66     La Chapelle Saint-Jacques-de-Calahons (531 m) depuis Catllar (331 m) ♫

66     La Chapelle Saint-Michel de Sournia depuis Sournia. ♫

66     La Chapelle Sant Marti de la Roca (518 m) depuis Camélas (314 m) ♫

66     La Chapelle Santa Engracia (653 m) depuis Amélie-les-Bains ♫

66     La Fontaine du Loup (Foun del Loup-650 m) de Trilla à Pézilla-de-Conflent ♫

66     La Gare d'Estardé (1.213 m) depuis Urbanya (856 m) ♫

66     La Métairie de Cobazet (1.536 m) depuis Urbanya (856 m) ♫

66     La Redoute d'Ambouilla (813 m) et autres découvertes depuis Sirach (470 m) ♫

66     La Roche gravée de Fornols et autres découvertes depuis Campôme ♫

66     La Serre de l'Artigue del Baurien (566 m) depuis Saint-Paul-de-Fenouillet ♫

66     La Serre de Vingrau (576m) en boucle depuis Vingrau (retour par le chemin du Mas Llansou) 

66     La Serre du Bosc del Prior (828 m) depuis Corneilla-de-Conflent (548 m) ♫ 

66     La Source des Verriers (782 m) depuis Vira (610 m) ♫ 

66     La Torre de Creu et le barrage de Matemale depuis Matemale ♫

66     La Tour de Batère (1.429m) depuis le Col de Palomère (1.036m) ♫

66     La Tour de Goa (1.268 m) depuis Vernet-les-Bains (670 m) ♫ 

66     La Tour de la Madeloc (656 m) depuis Banyuls-sur-Mer.

66     La Tour de la Massane (793 m) depuis Lavail (220 m) ♫

66     La Tour de Mir (1.540 m) et le Pic de La Clape depuis Prats-de-Mollo. ♫

66     La Tour de Querroig (670 m) depuis Banyuls-sur-Mer ♫

66     La Tour del Far et la carrière de marbre d'El Comador depuis Tautavel ♫

66     La Tour del Far (498 m) depuis Cases-de-Pène. ♫

66     La Tour et le Roc de Lansac (500 m) depuis Lansac. ♫

66     La Tourèze Mystérieuse depuis Latour-de-France ♫

66     La Trancade et la Redoute d'Ambouilla (813 m) depuis Ria (370 m) ♫

66     La Vallée d'Eyne (1.599m) jusqu'au col de Nuria (2.683m). ♫

66     La Vallée de l'Alemany (1.979 m) depuis Mantet (1.475 m) ♫

66     La Vallée du Galbe (1.757 m) depuis Espousouille (1.523 m) ♫

66     La Voie verte de l'Agly en VTT depuis Rivesaltes jusqu'au Barcarès ♫

66     L'Abbaye de Saint-Martin-du-Canigou (1.055m) depuis Vernet-les-Bains (670m) ♫

66     Le Balcon de Céret (423 m) depuis Céret (158 m) (La Nogarède) ♫

66     Le Balcon de la Côte Vermeille par le Pic des 4 Termes (1.156m) ♫

66     Le Balcon de la Coumelade (1.811 m) depuis St Guillem de Combret (1.335 m) ♫

66     Le Balcon de la Pêche depuis Ansignan (pont-aqueduc romain). ♫

66     Le Balcon de Nohèdes (1.310 m) depuis Nohèdes (935 m) par l'ancien canal d'irrigation. ♫

66     Le Balcon de Villefranche-de-Conflent par Saint-Etienne de Campilles ♫

66    Le Balcon de Villefranche-de-Conflent (427m/1.091 m) par Belloc.♫

66     Le Balcon des Aspres de Ste-Colombe à Camélas en passant par Castelnou. 

66     Le Balcon d'Evol (985 m) depuis Olette (623 m) 

66     Le Balcon d'Ille-sur-Têt (664m)- de Saint-Michel-de-Llotes à Casefabre. 

66     Le Balcon du Canigou (1.739 m) depuis Los Masos/Valmanya (1.014 m) 

66     Le Balcon d'Urbanya (1.535 m) depuis Nohèdes (942 m) 

66     Le Balcon sur la Rotjà du col de Jou (1.125 m) à Py (A/R). 

66     Le Cami d'El Viver (ou chemin du Vivier) depuis Saint-Martin-de-Fenouillet ♫

66     Le Cami de la Retirada (1.513 m) depuis Prats-de-Mollo (724 m) ♫      

66     Le Cami de las Sanyes depuis Salses-le-Château. ♫

66     Le Cami de Sant Bernabeu depuis Valcebollère ♫

66     Le Cami dels Orris depuis Salses-le-Château ♫

66     Le Cami Ramader de Thuir d'Evol au refuge de la Mouline (1.550m) ♫

66     Le Canal de Bohère depuis Llonat (commune de Los Masos) ♫

66     Le Canal d'Urbanya (1.764 m) depuis Urbanya (856 m) ♫

66     Le Canal Paul Riquet, La Soulsoure et le Sentier de découverte de La Sagnette à Saint-Hippolyte. ♫

66     Le Château de Montferrer 'Lo Castell' (1.035 m) depuis Montferrer (795 m) ♫

66     Le Château de Salveterra (400 m) depuis Opoul (côte 207 sur la D.9) ♫

66     Le Château des Maures et le viaduc de l'Escargot depuis Caudiès-de-Fenouillèdes 

66     Le Chemin de Flassa (1.151 m) depuis Jujols (960 m), fenêtre sur le Canigou. 

66     Le Chemin de la Frigoulette depuis Cerbère 

66     Le Chemin de l'Ourriet (1.359 m) depuis Urbanya (856 m) ♫

66     Le Chemin de Milie à Saint-Estève ♫

66     Le Chemin de Saint-Martin (290 m) depuis Latour-de-France (90 m) ♫

66     Le Chemin de Véronique et la Roque d'En Talou depuis Montner ♫

66     Le Chemin de Vivès depuis Vivès ♫

66     Le Chemin des Amandiers sauvages : Saint-Estève - Baixas - Peyrestortes ♫

66     Le Chemin des Bacs depuis Tautavel ♫

66     Le Chemin des Canons (1.617m) de Canaveilles (934 m) à Llar. ♫

66     Le Chemin des Estives (Sur...) depuis Angoustrine.♫

66     Le Chemin des Frênes ou Cami de les Freixes à Urbanya ♫

66     Le Chemin des Muletiers de Cosprons depuis Port-Vendres (Pont de l'Amour) ♫

66     Le Chemin des Orrys de Ria à Llugols et le Pi del Rei   .

66     Le Chemin d'Eus (387m) à Arboussols (520 m) ♫

66     Le Chemin du Facteur depuis Caudiès-de-Fenouillèdes. ♫

66     Le Chemin du Mas de Les Fonts depuis Calc

66     Le Cimetière des Maures depuis Estagel ♫

 

66     Le Circuit Autour du Vallon de la Désix depuis Sournia ♫

66     Le Circuit champêtre de Fosse-Les Cabanes ♫

66     Le Circuit de 5 villages cerdans depuis Hix (Bourg-Madame) ♫

66     Le Circuit de Campoussy (885 m) depuis Sournia (490 m) ♫

66     Le Circuit découverte de Clara à Taurinya 

66     Le Circuit découverte Escaro/Aytua depuis Escaro ♫

66     Le Circuit de Força Réal (507 m) depuis Montner (125 m) ♫

66     Le Circuit de Fosse par la Couillade de Ventefarine ♫

66     Le Circuit de l'Anse de Paulilles depuis la plage de Bernardi (Port-Vendres) ♫

66     Le Circuit de l'Eau à Saint-Estève ♫

66     Le Circuit de la Bataille du Boulou depuis le Boulou ♫

66     Le Circuit de la Devesa et de la Coma depuis Urbanya (suivi des Orthoptères d'Urbanya) ♫

66     Le Circuit de la Matte (Mata) (1.205 m) depuis Urbanya (856 m) ♫

66     Le Circuit de la Montagne brûlée depuis Rodès (le Sentier des Carrières et du village médiéval de Ropidera) ♫

66     Le Circuit de la Soulsoure depuis Saint-Hippolyte-de-la Salanque ♫

66     Le Circuit de la Tirounère depuis Saint-Paul-de-Fenouillet ♫

66     Le Circuit de Vallserra par l'Iglesieta depuis Les Angles. ♫

66     Le Circuit des 3 Châteaux de Fenouillet depuis Caudiès-de-Fenouillèdes ♫

66     Le Circuit des 3 Dolmens depuis Bouleternère ♫

66     Le Circuit des 3 Veïnats de Fuilla 

66     Le Circuit des Bornes frontière de 1258 depuis Montalba-le-Château ♫

66     Le Circuit des Clôtures (1.798m) depuis Urbanya (856 m) ♫ 

66     Le Circuit des Combes au départ d'Estagel ♫

66     Le Circuit des Coumes et sur les Pas des bergers depuis Calce ♫

66     Le Circuit des Genêts à Urbanya ♫

66     Le Circuit des Hautes Garrotxes (1.917 m) depuis Sansa (1.410 m) ♫

66     Le Circuit des Maisons d'Urbanya à Nohèdes ♫

66     Le Circuit des Minerais depuis Villefranche-de-Conflent ♫

66     Le Circuit des Ponts Romains depuis Sournia ♫

66     Le Circuit des Rocs et des combes depuis Cases-de-Pène (parking de l'ermitage) 

66     Le Circuit des Terres Noires à Sournia et le Fajas d'en Baillette ♫

66     Le Circuit des Trois églises depuis Ur (Autour d'Ur). ♫

66     Le Circuit du Champ de l'Ours (Campoussy) depuis Sournia. ♫

66     Le Circuit du Col du Miracle et des Lloses (1.424 m) depuis Prats-de-Mollo (729 m) ♫

66     Le Circuit du Jardin Ensoleillé depuis Saint-Martin de Fenouillet ♫

66     Le Circuit du Patrimoine de Baho depuis Saint-Estève. ♫

66     Le Circuit du Poste électrique et les éoliennes de Baixas depuis Saint-Estève ♫

66     Le Circuit "Les Mots du vignoble" au départ de Fourques ♫

66     Le Circuit minier d'Escaro ♫

66     Le Circuit pédestre sur les hauteurs de Collioure depuis Collioure ♫ 

66     Le Parc animalier des Angles (66) ♫

66     Le Pech de Fraissinet (1.173 m) à partir du village de Fenouillet ♫

66     Le Petit Balcon d'Urbanya (1.359 m) depuis Urbanya (856 m) ♫

66     Le Pic Aubeill (540 m) depuis Bélesta de la Frontière ♫

66     Le Pic Carlit (2.921m) plus haut sommet des Pyrénées-Orientales ♫

66     Le Pic de Costabonne (2.465 m) et la Coma del Tech depuis la Preste (1.107 m) 

66     Le Pic de la Moscatosa (Mousquatouse) (1.457 m) depuis Urbanya (856 m) 

66     Le Pic de la Pelade (2.370 m) et la Coume de Ponteils depuis le Col de Sansa (1.775 m) ♫

66     Le Pic de la Serra (1.208 m) depuis Urbanya (856 m) 

66     Le Pic de la Souque (1.635 m) depuis Leca (901 m) 

66     Le Pic de Portepas (1.798 m) depuis Urbanya (856 m) 

66     Le Pic de Tour ou del Torn (1.632 m) depuis Urbanya (856 m) 

66     Le Pic de Vergès (584 m) depuis Saint-Arnac 

66     Le Pic del Rosselló (1.314 m) depuis Mosset (700 m) 

66     Le Pic des Mauroux (2.137 m) depuis la Mollera dels Clots (Font-Romeu) ♫

66     Le Pic des Salines (1.333m) à partir de Fontfrède (Céret) 

66     Le Pic des Sept Hommes (2.651 m) depuis le refuge de Mariailles 

66     Le Pic des Tres Estelles (2.099 m) en 2 jours depuis le Pas de Grau (1.190 m) (Escaro) 

66     Le Pic du Canigou (2.784 m) depuis Mariailles (parking Le Randé - 1.520 m) ♫

66     Le Pic Garrabet (794 m) et Terre Majou (842 m) depuis Sournia (497 m) ♫

66     Le Pic Lazerou (574 m) et les dolmens de Felluns et Ansignan (245 m) ♫

66     Le Pic Lloset (1.371 m) et le pic de la Moscatosa (1.457 m) depuis Urbanya (856 m) ♫

66     Le Pilon de Belmatx et la Serre de Montner depuis la Boadelle ♫

66     Le Pla des Avellans depuis Bolquère-Pyrénées 2000 (Parking Les Estanyols) ♫

66     Le Pla Ségala en raquettes (2.200/2.320m) depuis le col de Mantet (1.760m) ♫

66     Le Prieuré de Marcevol et la chapelle Sainte Eulalie (656m) depuis Vinça (250 m) ♫

66     Le Prieuré de Serrabonne (601 m) depuis Boule d'Amont (415 m). ♫

66     Le Prieuré Santa Maria del Vilar depuis Villelongue-dels-Monts ♫

66     Le Puig del Pam (2.470 m) depuis les Angles ♫

66     Le Puig del Rocater (1.601 m) depuis Urbanya (856 m) 

66     Le Puig d'Escoutou (2.292 m) et la Llabanère (2.052m) : à l'écoute des cervidés ♫

66     Le Puig Pédrous (437 m) depuis Ille-sur-Têt (125 m) ♫

66     Le Puig Saint-Pierre (1.791 m) et le Puig de l'Estelle (1.778 m) depuis Batère. ♫

66     Le Puig Sant-Cristau (1.015 m) depuis Saint-Jean d'Albère (545 m) ♫

66     Le Refuge de Callau (1.537 m) depuis Urbanya (856 m) ♫

66     Le Refuge de l'Orri (1.810 m) depuis Prats-Balaguer (1.309 m) ♫

66     Le Refuge du Gai Sourire (1.076m) et le Ravin de Tulla depuis Fenouillet (443 m) ♫

66     Le Rêve de Sylvain et la Tirounère depuis Prugnanes ♫

66     Le Roc de Jornac (1.051 m) depuis Urbanya (856 m) ♫

66     Le Roc de les Creus (1.091 m-Conat) depuis Urbanya (856 m) ♫

66     Le Roc de les Medes (692 m) depuis Sorède (La Farga-205 m) ♫

66     Le Roc de Peirafita (1.535 m) par le Bac de la Pinosa depuis Urbanya (856 m) ♫

66     Le Roc des Quarante Croix (1.356m) depuis Mosset. ♫

66     Le Roc et le Bac de Torrelles (1.745 m) depuis Urbanya (856 m) ♫

66     Le Roc Redoun (328 m) et les Coumos de la Quirro depuis Baixas ♫

66     Le Sarrat d'Espinets (801m) et le Roc Rouge (735m) depuis le col des Auzines (603m) ♫

66     Le Sarrat de Marsac (1.088 m) et les Cortalets depuis Urbanya (856 m) ♫

66     Le Sarrat Naout (1.310 m) et Gatespa depuis le Col Bas (1.035 m) à Rabouillet ♫

66     Le Sentier archéologique d'Eyne ♫

66     Le Sentier d'Arletes et autres hameaux perdus depuis Conat ♫

66     Le Sentier de Carbodell depuis Nohèdes. ♫

66     Le Sentier de Découverte du Crest Petit et Les Comes à Baixas ♫

66     Le Sentier de Découvertes et d'agrément de Néfiach. ♫

66     Le Sentier de la Garrigue (1.392 m) et des Coumeilles depuis Jujols (960 m) ♫

66     Le Sentier de la Roche Insolite depuis Opoul-Périllos ♫

66     Le Sentier des Cariolettes au départ de Bolquère-village. ♫

66     Le Sentier des Hauts de Taïchac (632m) depuis St-Martin de Fenouillet (426m) ♫

66     Le Sentier des Histoires et la chapelle Saint-Luc de PuigRodon depuis Fourques ♫ 

66     Le Sentier des Oiseaux d'Ansignan ♫

66     Le Sentier des Trabucayres (1.333 m) depuis Las Illas (540 m) ♫

66     Le Sentier du Baron et le Tambour de Sahorre depuis Sahorre ♫

66     Le Sentier du Barrage sur l'Agly depuis Cassagnes (66). ♫

66     Le Sentier du Cap Béar depuis Port-Vendres (Anse de l'Espelugas) ♫

66     Le Sentier du Charbonnier depuis La Tirounère (St-Paul-de-Fenouillet) ♫

66     Le Sentier du Littoral de Banyuls-sur-Mer au site de Paulilles ♫

66     Le Sentier du Littoral de l'Anse de Paulilles au cap Béar et retour ♫

66     Le Sentier du Littoral du Racou à Collioure et retour. ♫

66     Le Sentier du Myrte et du genévrier depuis le château de Salveterra (Opoul-Périllos) ♫

66     Le Sentier Forestier des cinq sens et la forêt de Mosset (1.539 m) ♫

66     Le Sentier Forestier des Rhododendrons (1.890 m) depuis Rieutort (1.517 m) ♫

66     Le Serrat de Calvaire (1.359 m) depuis Urbanya (856 m) ♫

66     Le Serrat de la Font de la Barbera (1.549 m) depuis Urbanya (856 m) ♫

66     Le Serrat de l'Homme et la Cascade d'Urbanya ♫

66     Le Serrat Gran (1.430 m) depuis Urbanya (856 m) ♫

66     Le Site du Parc Naturel des Dosses au Barcarès. ♫

66     Le Tour de la Pelade (1.173 m) depuis Fenouillet (La Coume) 502 m ♫

66     Le Tour de Saint-Michel de Cuxa depuis l'abbaye 

66     Le Tour des Cabanes (916 m) depuis Prats-de-Sournia (634 m) ♫

66     Le Tour des Trois Villages : Sauto, La Llagonne, Fetges. ♫

66     Le Tour des villages à la croisée des voies romaines depuis le col de La Perche ♫

66     Le Tour du Coucouroucouil (1.996 m) à partir de Prats-Balaguer (1.309 m) 

66     Le Tour du Domaine des Montpins (Espira-de-l'Agly) ♫

66     Le Tour du lac de Caramany 

66     Le Tour du lac de Puyvalador depuis Réal ♫

66     Le Tour du lac de Villeneuve-de-la Raho ♫

66     Le Tour du Mont Nègre (1.226 m) depuis Falgos (St-Laurent-de-Cerdans) ♫

66     Le Tour du Très Estelles jusqu'à Py (1.023m). ♫

66     Le Trau del Cavall (Falaises et Contrebandiers) (540 m) depuis Vingrau ♫

66     Le Val de Bonabosc (799 m) ♫

66     Le Vallon d'Aigues-Bonnes (710 m) et les Gorges de Saint-Jaume ♫

66     L'Ermitage Saint-Etienne de Pomers depuis Clara ♫

66     L'Ermitage Saint-Ferréol (300 m) depuis Céret (144 m) ♫

66     L'Estany del Clot (1.682 m) depuis Nohèdes (960 m). ♫

66     L'Etang de la Balmette (2.047 m) depuis les Angles (1.840 m) ♫

66     Les Balcons de le Têt de Saint-Thomas-les Bains (1.155m) à Planès (1.558m) et retour ♫

66     Les Balcons de Taurinya (843 m) depuis Taurinya (543 m) ♫

66     Les Berges de la Têt (Au bord de la Têt) depuis les Estanyols (Bolquère) ♫

66     Les Cascades Saint-Vincent et des Anglais à Vernet-les-Bains ♫

66     Les Chapelles du Coronat (St-André de Belloc et St-Etienne de Campilles depuis Conat ♫

66     Les Chapelles du Pla de Balençou (912m) depuis Conat (513 m) ♫

66     Les Chemins d'Adrienne depuis Fourques ♫

66     Les Chemins de l'Ourriet et des Escocells depuis Urbanya ♫  

66     Les Chemins ruraux de Serralongue depuis Le Tech ♫

66     Les Coteaux de Terrats depuis Terrats ♫

66     Les Crêtes de Serrabonne (1.044 m) depuis le prieuré de Serrabonne (601 m) ♫

66     Les Etangs de Font-Vive et de Passet en boucle à Porté-Puymorens. 

66     Les Gorges de la Carança depuis Thuès-entre-Valls et jusqu'au pont de Pierre. ♫

66     Les Gorges de la Guillera et le château de Rodès (308 m) depuis Rodès (203 m

66     Les Gorges de Nyer et le château de La Roca ♫

66     Les Gorges du Sègre depuis Llo ♫

66     Les Gorges et les Cascades du Cady (1.084 m) depuis Casteil (824 m) ♫

66     Les Lacs de Nohèdes et d'Evol (2.170 m) depuis Montailla (1.150m) (Nohèdes) ♫

66     Les Lacs des Camporells (2.240 m) depuis Formiguères (Station de ski-1.740 m) ♫

66     Les Mattes Vertes et les Mattes Rouges (2.083m) depuis le Col de Jou (1.125m) ♫

66     Les Mines de La Pinouse (1.360m) depuis le col de Palomère (1.036m) ♫

66     Les Monts d'Estagel (185 m) depuis Estagel 

66     Les Pierres gravées et dressées de Conat 

66     Les Plans d'eau de Millas ♫

66     Les Rocs de France (1.450 m) et de Saint Sauveur (1.235 m) par Montalba d'Amélie 

66     Les Tours à signaux et la carrière de marbre de Badabanys depuis Villefranche-de-Conflent. 

66     Les Tours de Cabrens (1.336 m) depuis Lamanère (777 m) 

66     Les Villages perdus du Conflent -de Nohèdes à Urbanya 

66     Notre-Dame de Coral en boucle depuis le col d'Ares (Prats-de-Mollo) ♫

66     Notre-Dame de Coral par le col de Malrems (1.131m) depuis Lamanère (770 m) ♫

66     Notre-Dame de Pène et Sainte-Catherine de Baixas ♫

66     Notre-Dame de Vie et sa grotte à Villefranche-de-Conflent. 

66     Notre-Dame du Château et le Château d'Ultrera à partir de Sorède (533 m) 

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