• Ma Newsletter N°18 de 2016 de Mes Belles Randonnées Expliquées

    Chèr(e)s ami(e)s bonjour,

     

     

    • Comme promis, voilà dans la page d’accueil de mon blog, la jolie balade consacrée à « la Batterie et à la chapelle Santa Engracia » Une randonnée pas si facile que ça, confirmant si besoin que le Vallespir est bien le « pagus vallis asperi », c'est-à-dire le « pays de la vallée âpre » cher aux romains. La batterie, elle, est un peu plus récente, de 1670, et serait sortie de l’imagination de Vauban pour mettre fin à la révolte des Angelets et à leur contrebande du sel. Pour lire l’article et regarder le nouveau diaporama musical qui l’accompagne, il vous faudra cliquer ici.

     

    • Il y a quelques jours, je suis tombé sur un article des « Echos.fr » dont le titre « France, la dette continue de progresser » m’a quelque peu interpellé. En réalité, c’est surtout deux chiffres qui m’ont abasourdi car le journaliste écrivait « au deuxième trimestre, la dette atteint 2.170,6 milliards d'euros, en hausse de 31,7 milliards par rapport au trimestre précédent ». Je me suis donc demandé comment on pouvait en arriver à des chiffres aussi hallucinants en quelques mois et au-delà des dépenses récurrentes habituelles dont on peut se douter (intérêts de la dette, aides et allocations sociales, salaires des fonctionnaires, etc…) je me suis amusé à chercher dans l’actualité d’Internet quelques gaspillages très récents de l’argent de nos impôts. Il m’a fallu moins de 10 minutes pour en recenser 9, pas piqués des hannetons, que je soumets à votre jugement. L’écriture de cet article, lui, m’a pris un peu plus de temps et s’inscrit dans Mon Journal Mensuel d’octobre. Je l’ai tout naturellement intitulé « Mais où passe notre argent ? ». Il est accessible en cliquant ici.

     

    • Après la Batterie de Santa Engracia chère à Vauban, j’ai continué à marcher dans les pas de l’Histoire. Une Histoire sans doute erronée avec cette balade au départ de Sournia qui s’intitule le « Circuit des Ponts Romains ». Elle permet de découvrir des vieux ponts, lesquels n’auraient rien de Romains. Mais peu importe, l’Histoire de France est bourrée d’anomalies et la balade, elle, reste superbe et agréable avec néanmoins un léger désagrément, celui d’être contraint de se mouiller les pieds. Un comble, je l’admets, quand on a la prétention de vouloir faire découvrir des ponts. Un bref aperçu avec tracé sur carte I.G.N est déjà visible dans la News en cliquant ici.

     

     

    Je vous souhaite de bien belles randonnées automnales avec ou sans bains de pieds.

    Bien amicalement.

    Gilbert.

     

     

    Pour le simple bonheur de lire de jolis mots, voilà un extrait du poème « Le Dormeur du val » d’Arthur Rimbaud. En me reposant au bord de la Desix lors de ma balade sur le « Circuit des Ponts Romains », je me suis souvenu de ce poème que j’avais appris à l’école primaire, enfin de quelques bribes seulement. En voilà, les vers exacts :

     « C'est un trou de verdure où chante une rivière Accrochant follement aux herbes des haillons D'argent ; où le soleil, de la montagne fière, Luit : c'est un petit val qui mousse de rayons…. » Arthur Rimbaud – poète français (1854-1891)
     



    Newsletter envoyée le Mercredi 5 Octobre 2016

    Retour à la liste des newsletters